Animulets, animulettes (09.11.2005)

Y’en a qui croient que je les abandonne.
Que nenni, mes petits animulets mais c’est que vous êtes de plus en plus nombreux ! Ce n’est pas votre petite âme errante qui s’en plaindra mais elle manque de temps pour vous répondre avec son beefsteack qu’elle doit défendre tous les jours. Merci donc à Henri, à Joseph, à Pierre, à Béatrice, 5 fois merci à l’Infatigable et à ceux que j’oublie provisoirement. Comment se taire devant vos zavisés commentaires, chers correspondants ?
C’est chouette, monsieur Barras d’avoir un voisin à Montréal. Je compte sur votre carnet pour traverser plus souvent la grande mare.
Bravo, monsieur Dumetz de m’avoir damé le pion sur le manuscrit Voynich et compliment à vous monsieur Barthélémy pour avoir comblé l’appétit féroce de l’Infatigable.
Quant à vous chère Béatrice que je garde pour la bonne bouche, vous devez être un grand poète, en ces temps plutôt brûlants, pour vous exprimer comme vous le faites. Permettez donc à votre Animula de détourner vos paroles pour vous emprunter sa pensée du jour :

L’ART BRUT EST COMME UN FEU QU’ON REGARDE EN RÊVANT

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