2011 : le marathon des vœux (21.01.2011)
Le marathon des vœux va finir par avoir ma peau! Je voudrais vous parler d’art brut et au lieu de ça je me casse la nénette à choisir des cartes de bonne année, je me casse les ongles à décoller mes timbres du carnet, je cours à la boîte aux lettres pour arriver avant la levée. J’ai beau faire mon possible pour répondre à tout le monde, bernique! On me aime, on me chouchoute, on me fait pouet pouet. J’ai des tas d’amis. Pas sur face bouc mais dans mon courrier et dans ma messagerie. Ils me veulent du bien.
Des exemples? La Bonne année dé-so-pliante des éditions Plein Chant. Edmond Thomas, pour l’occasion, nous reproduit en entier Le Grand chemin de la postérité de Benjamin Roubaud.
Cela vous rappelle quelque chose? Je l’ai traficoté dans mon post du 25 sept. 2010 : Cauchem’art brut.
Vous arpentâtes, sur les pas de votre petite âme errante, Les territoires de l’art modeste? L’insolite cocktail du vernissage du MIAM était l’œuvre de Dorothée Selz qui m’a gratifiée de vœux non moins insolites. Le diablotin noir de la fille aux bas roses (voir : Le CrAB en pince pour l’art brut) a sauté dans mon mois de janvier avec entrain.
Tant que j’y suis, j’en profite pour signaler que sa créatrice, Caroline Sury, expose avec deux complices à La Galerie Porte Avion à Marseille jusqu’au 26 février 2011.
La fée Ursin (Catherine), auteur du C’rAB en tôle (voir la même note) me fait coucou avec cette image dont je vous fais profiter.
Le dindon choisi par Fred et Cathy Tavard, les re-découvreurs des Cailloux de Marcel Landreau (voir mon post du 18 oct. 2010, Marcel Landreau, les retrouvailles) glougloute de plaisir en ce début 2011. Peut-être parce que le numéro 33 de la revue Création Franche vient de sortir et qu’il contient un article de 3 pages avec des mickeys en couleurs à propos de Landreau qui «sort de l’ombre».
et Joëlle Jouneau dans le gothique, au bénéfice de l’Abbé Fouré qui vient de se faire scruter au fond de la soutane par Jean Jéhan dans un gros-beau bouquin sur Saint-Malo/Rothéneuf au temps des rochers sculptés.
Merci enfin à Ophelia qui s’est débrouillée pour arriver presqu’avec l’an neuf. Quel meilleur augure que la naissance d’un bout d’chou? Attendrissez-vous, mesdames et vous, messieurs, frisez vos moustaches.
Félicitations à la maman qui se porte bien et que l’on remercie pour ce signe de la main en partenariat avec sa fille. Qu’en 2011, les autres amoureuses de l’art brut fassent aussi des p’tits, c’est la grâce que je me souhaite car je dois commencer à penser à ma retraite animulienne.
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