01.11.2005
A Gérard Nicollet
Je vous remercie de m’inviter à la valse des étiquettes, cher décolleur de réalité (?), mais au risque de faire tapisserie, votre petite âme errante doit humblement reconnaître qu’elle préfère appeler un chat un chat et l’art brut l’art brut par conséquent.
Fritz Koller - collection abcd
Libre à vous de l’appeler minouche, rat singulier, n’importe quoi ou trop-tard-à la-soupe, pourvu qu’il sache sortir ses griffes et attraper les souris. C’est tout ce qu’on lui demande, n’est-ce-pas ? Ceci dit, je suis bien d’accord avec vous et, en poussant un peu plus loin votre bouchon, vous m’inspirez ma pensée du jour
REVENDIQUER D’APPARTENIR A L’ART BRUT, C’EST FAIRE LA PREUVE QU’ON LUI EST ÉTRANGER
18:00 Publié dans De vous zamoi, Ogni pensiero vola | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Fritz Koller, art brut | | Imprimer | | |