15.01.2006
Voynicherie point sur les i
a
a
CE N’EST PAS PARCE QU’ON EST PERSONNE, QU’ON N’A RIEN À DIRE
a
a
a
Merci, sweet Lorene du 10 janvier, de m’inspirer cette pensée du jour. Votre invitation à la réflexion mérite mieux que l’ironie facile de ce vieux pirate de Cap’taine Cariâtre. Pour ma part, j’y réponds volontiers. Faut-il, pour «se donner le droit» -comme vous dîtes- d’avancer une hypothèse, être tout à fait savante sur un sujet ? Je ne le crois pas. Votre lecture de ma note du 2 novembre 2005 sur le Code Voynich est pour le moins rapide. La preuve en est, ma chère sœur, que vous écrivez : «celui qui a écrit ce site» et non : «celle». Si vous aviez été plus patiente, vous auriez vu que je me contente d’évoquer la possibilité d’une supercherie. La possibilité seulement. Façon de poser une question à laquelle de plus compétent(e)s que moi pourront peut-être répondre. Toute la machine culturelle est faite pour décourager le premier venu de prendre la parole. Il faudrait être au moins vedette de cinéma, star du show-biz ou énarque de choc pour pouvoir donner son avis sur tout et n’importe quoi. Art brut compris. La multiplication des blogs comme le mien est en train de modifier cet état de choses. Votre petite âme errante n’a sans doute pas l’air particulièrement géniale, ni finaude, ni même bien fringuée, mais ce n’est pas une raison pour qu’elle s’étouffe, pas vrai ?
21:35 Publié dans De vous zamoi, Ogni pensiero vola | Lien permanent | Commentaires (1) | | Imprimer | | |
Commentaires
Entre ma petite badine et votre pommade, on peut dire qu'elle a été soignée, la p'tite Lorene, qui n'aura été que Lorene d'un jour?
Écrit par : Alfred Cariatre | 16.01.2006
Les commentaires sont fermés.