14.07.2014
Par hasard sur l'pont de Lézard...
Où le vent souffle je vais.
Ce ne sont pas les girouettes qui manquent.
Ni les pionniers dans ma ruée vers l’ouest.
Dans l’estuaire du Trieux, dans un port où Georges Brassens venait en vacances, comment ne pas suivre la caravane qui n’en finit pas de passer au creux d’un jardin qu’on aperçoit de la rue?
Les oiseaux migrateurs en ciment armé s’arrêtent là.
Pourquoi pas nous? L’endroit est charmant avec sa cabane bleue,
son moulin vert,
son puits aux cygnes en plastique.
Au chien du voisinage qui s’enroue à force d’aboyer, allez donc faire comprendre ça! Quelques photos et partons vite avant qu’il ne s’étouffe de rage à nous sentir près de son territoire
16:19 Publié dans De vous zamoi, Glanures, Sites et jardins, Vagabondages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : habitants-paysagistes, environnements populaires spontanés, georges brassens | | Imprimer | | |
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