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06.02.2015

Nouvel arrivage de «Jeune Création Contemporaine»

En passant par l’hôtel Drouot, j’ai picoré dans la salle 9 le nouvel arrivage de la «Jeune Création contemporaine».

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Voici donc ma petite sélection.

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 N° 154. Eliane Larus. Enfant au lézard

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N° 161. Michel Macréau. Le coeur rouge

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N° 143. Anselme Boix-Vives. Série des concierges

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N° 186. André Robillard. Sur le sol lunaire.

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N° 257. Mariam Koopen. s.t.

Attention, la vente c’est demain samedi 7 février à 14h.

26.02.2012

Mars à Lugdunum : 2 vernissages

Une photo sympa de notre Robi national, ça ne se refuse pas. J’emprunte ce portrait (avec claironnant tromblon) de notre cher assembleur, toujours adepte du ruban adhésif bleu, à la MAPRA de Lyon. Jusqu’au 17 mars 2012, cette Maison Arts Plastiques Rhône-Alpes sera la maison d’André Robillard.

André Robillard

Sinon sa maison, du moins son show-room puisque la MAPRA (puisque MAPRA il y a) montrera -et ri et ra- des fusils et des dessins à lui. Ceci dans le cadre d’une biennale de zique puisque Robi touche aussi au territoire de la muse Euterpe, «la toute réjouissante». Le vernissage est samedi prochain 3 mars 2012. A 12 h 30. Vous pourrez vous coucher tôt. On sortira pour l’occasion un nouveau concept, celui de «recycling attitude». Libre à vous de sourire finement comme Robillard au gars (ou à la meuf) qui a trouvé ce bazar là sous son bonnet!

Il est recommandé de commencer votre ouikène à Lugdunum dès le vendredi 2 mars au soir. A 18 h, en effet, la Galerie Dettinger-Mayer (Art primitif, Art Contemporain), place Gailleton, vernira de son côté les dessins de Ruzena, chapeautés d’un segment de phrase de l’écrivain portugais Antonio Lobo Antunes qui exerça la psychiatrie dans sa jeunesse : «parce que ce que j’écris peut se lire dans le noir».

Ruzena

Pour ceux que cette citation laisserait perplexes, je m’aventurerai à dire qu’elle nous fournit peut-être une clé de la porte des songes où cette artiste discrète sinon secrète (ce sont là des qualités) heurte et se heurte. A bien des égards, ses créatures enceintes, ses ondines flottantes aux grands yeux clos sur leur blancheur, ses poupées-ludions me paraissent filles de l’eau qui coule sous nos paupières avant le désiré naufrage du sommeil.

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Il y a du bébé dans l’air, ajouterais-je, car la composition baigne dans un liquide amniotique autant que graphique. A la manière d’un Fred Deux qui n’a cessé de raffiner les méandres de son crayon, Ruzena superpose les chairs fuselées et métalliques d’une grande précision aux fantomatiques apparitions en filigrane.

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Les papillons, les anémones de mer, les éléments floraux qui dérivent en profondeur mêlent leurs tonalités rousses aux gris très précis des premiers plans. Une savante exactitude du trait, une gestion calculée des blancs se met ici au service d’une certaine approche du fantastique qui m’entrainerait à penser à Rodolphe Bresdin ou à Charles Meryon si je ne me retenais pas. Et si Ruzena faisait de la gravure ?

21:36 Publié dans art brut, Expos, Miscellanées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art brut, andré robillard, ruzena, antonio lobo antunes, lyon | |  Imprimer | | Pin it! |

29.03.2009

Fusil chinois rapide

Puisqu’on parle du loup, parlons de Robillard à la Création Franche. André Robillard est un tant grand monsieur de l’art brut que ça crépite de partout autour de son nom. Le Net n’est pas avare de bios et de commentaires sur ce valeureux fabricant d’armes à feu qui fonctionnent exclusivement à la poudre d’émotion fleur de peau et à la violence apprivoisée. Des kalachnikovs pour-de-faux, plus offensives que des pour-de-vrai, tellement elles sont plus touchantes !

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Mon chéri que j’ai, il les adore les super-fusils de Robillard. Ils lui font penser à ceux d’Alexandre Lobanov : c’est la même agressivité pur jus, «d’autant plus pure qu’elle est faite pour ne s’exercer jamais» qu’il dit, mon chéri.

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déguis 2.JPGIl aurait voulu en avoir des comme ça quand il était petit. Il peut pas s’empêcher de jouer encore avec à son âge. Après, il me tanne pour que je le photographie dans sa tenue de terroriste en peau de lapin brut.
Si je l’écoutais, il irait comme ça à l’inauguration de l’exposition André Robillard le vendredi 3 avril 2009 au Musée de la Création Franche.

C’est à partir de 18 heures (d’été) à Bègles et on nous promet 3 salles avec des dessins et des sculptures, plus une 4e salle en bonus avec un «espace documentaire constitué autour de la vie» du cher et respecté Robi.

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Les Animuliens et leurs copains qui pourront rester dans le coin juqu’au 4 avril auront en plus l’avantage d’assister à une rencontre-débat (tout c’qu’on aime) à la Bib de Bègles. Avec dans les rôles principaux : Lucienne Peiry, Cardinal Roger et, et, et… Gérard Sendrey, Nouvel Inventeur, «initiateur et créateur de la Création Franche» et du Musée du même métal.
Pour ceux que leurs activités détourneraient de ces folies bèglaises, qu’ils sachent qu’ils ont jusqu’au 19 avril 2009 pour s’offrir la rando jusqu’à l’expo Robi perso.
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L’œuvre d’André Robillard avait déjà été montrée au MCF mais dans le cadre d’une expo collective de 1997, celles des collectionneurs Eternod et Mermod.

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02.04.2008

L’art brut se donne en spectacles

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Un coup d’œil sur ma feuille de route et je m’aperçois que j’allais 749295045.jpgmanquer de respect -moi la muse de l’art brut- à mes copines Melpomène et Thalie, les Muses (avec un grand M) du théâtre.

C’est fou comme le théâtre se branche sur l’art brut en ce moment.

Dernièrement, c’est André Robillard qui s’est retrouvé enrôlé, en février 2008 à Orléans dans la salle de répétitions du Centre dramatique et en mars à La Fonderie au Mans, dans une «performance» de théâtre musical (Tuer la misère) où sa pratique de l’accordéon râleur et de l’harmonica amplifié par un seau constituèrent le clou du spectacle.

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907376604.2.jpg Le spectacle, le cher spectacle, le voici, le voilou de retour, grâce aux efforts conjugués du réalisateur Bruno Decharme, de Kate France, «musicienne, metteur en scène, vidéaste et comédienne» (je cite le tract-annonce contenu dans le livret Théâtre et Variations des Rencontres de La Villette) et à Sylvie Reteuna de la Compagnie La Sybille, autre metteur en scène. Leur commune réalisation s’intitule L’Appartement.

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Rien à voir avec le film de Billy Wilder.

 

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«Les spectateurs sont invités à visiter l’appartement où six colocataires en errance déambulent au rythme de leurs songes et des œuvres d’art brut qui peuplent leur univers» nous éclaire la présentation de cette déambulation théâtrale.

Ce n’est pas limpide ? Vous pensiez comme moi que c’est plutôt dehors qu’on erre ou qu’on étagère (pardon, j’ai pas pu m’en empêcher) ? Et que les songes, c’est quand on dort, ce qui n’est pas propice à la déambulation ?

Mais attendez, la suite est plus claire. Il s’agit simplement de «fragments de lettres, écrits ou délires (…) d’hommes et de femmes ayant connu l’enfermement psychiatrique» dits par des acteurs, au milieu (qu’on me corrige si je me trompe) de tableaux exposés dont les auteurs ont le même profil.

Un beau profil puisqu’ils proviennent de la Collection de Bruno Decharme. Pour une fois, ce n’est pas à Montreuil, l’aimable cité néoécologiste, que ça se passe mais, vous l’avez deviné, au studio 1 de la Grande Halle de la Villette où l’on ne tranche plus le lard comme dans la chanson de Jacques Lanzmann et Jacques Dutronc.
Les séances sont le 17 et 24 avril à 19 et 22 h, les 18, 19, 25 et 26 du même mois à 17 h, 18h 30 et 21 h. Vous trouverez bien une fenêtre de tir : allez-y, c’est sûrement très bien puisque Mme Sandrine Mens du Service des Publics et de la Médiation du parc de la Villette m’a envoyé (merci !) 2 courriels et une bafouille pour que je n’oublie pas.

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En guise de zakouski, une rencontre-lecture est organisée vendredi 4 avril 2008 à 19 h à l’Espace Librairie Actes Sud de la Big Halle de La Villette où on se demandera ce qui dans les textes bruts «résiste à la représentation» et si on peut «sans les trahir les exposer sur la scène».

01:19 Publié dans Parlotes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : andré robillard, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

13.02.2008

Vente de la Saint Valentin

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Friedrich Schröder Sonnenstern

Heureuseument que vous êtes là pour me rafraîchir la mémoire, mes petites Animuliennes! J’avais noté le 14 février sur mon agendada mais je croyais que c’était pour me rappeler de la Saint Valentin comme toutes les amoureuses du monde. Et bien, non. J’avais oublié que c’était aussi le jour de la vente Tajan, à l’Espace Tajan, rue Tajan (non je déconne : c’est rue des Mathurins dans le 8e) à Paris, la ville où les taxis passent sans nous voir.

e9d168b84b0d20075bcd8c9fa6bc7a63.jpgL’Empereur Tajan, comme tous les six mois environ, partage en deux son luxueux catalogue pour faire voisiner des choses qui lui paraissent aller ensemble. De l’Art brut (1e partie) et de l’Art naïf (seconde manche).
Sans une correspondante vigilante qui m’a remonté les bretelles depuis l’autre bout du monde (c’est un comble !) je manquais à tous mes devoirs d’information. Il faut dire que j’ai peut-être des excuses. Cette cuvée Tajan-là ne m’a pas paru bouleversante-bouleversante en ce qui concerne les pièces d’art brut proposées.

Parmi quatre Scottie pas ravageurs, un Fusil russe d’André Robillard qui en fait regretter d’autres,

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des Germain Van der Steen en nombre, j’ai noté un intéressant Friedrich Schröder-Sonnenstern impudique, une Promenade dans un paysage fantastique de Madge Gill,

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un Crabe de Mose Tolliver,

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plusieurs Boix-Vives qui se laissent regarder dont une procession d’Insectes verts assez coruscants.

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Et puis, mais sont-ils à leur place ici ? deux Roger Chomo. Une aquarelle et feutre sur papier du genre de celle que l’ermite de la forêt de Fontainebleau cédait assez volontiers en souvenir aux visiteurs de son domaine d’Achères

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 et une huile sur toile (c’est plus rare).

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Rendez-vous demain dans la salle pour se chauffer au feu des enchères.

07.06.2007

Les chemins de l’art brut (6)

Coucou, voilà du rab. Je sais que vous aimez ça. 52d0a02eab30c5d1b93434d821b165ea.jpgTête de linotte comme elle est, votre petite âme errante a oublié de vous dire que Trait d’union constitue la 6e bouture des Chemins de l’art brut ouverts dans le maquis culturel par le musée d’Art Moderne Lille Métropole.
Les œuvres exposées : Fleury-Joseph Crépin, Jules Doudin, Georgine Hu, Jean Perdrizet, Hélène Reimann, André Robillard, Willem Van Genk et Carlo Zinelli sont issues (prononçez tissu) de la donation L’Aracine.

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Elles dialoguent avec des œuvres d’Auguste Forestier, Aimable Jayet, Marguerite Sirvins créees dans ce fameux HP de Saint-Alban.
Pour les grincheux et les bêcheuses qui trouvent que ça fait pas mal de choses qu’on connaît déjà, je ferai remarquer que quand on aime on n’hésite pas à remettre le couvert.

Et puis en plus les fondus de la pelloche que vous êtes pourront visionner le nouveau documentaire de Claude et Clovis Prévost (décidément ils aiment l’air d’la campagne ces deux-là !) tourné sur un an, de mai 2006 à mai 2007, et consacré à André Robillard à l’ouvrage dans sa petite maison près d’Orléans.

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2 photos du tournage 

«On le voit dessinant», m’écrit Clovis P., «musiquant à l’accordéon, harmonica et divers tambours-batteries».

89426afbc839f67047c7f23f80118617.jpgSûr que ça promet ! Je voudrais, mon ukulélé en bandoulière, me télécharger séance tenante en plein dans la Limagnole si je pouvais.

Un conseil toutefois : bien se faire préciser les horaires de visite par le château de Saint-Alban.

2918c57d7e37a097074426f88be7097f.jpgL’un de nos fidèles correspondants qui, lors d’une exposition précédente en ce lieu, avait fait un détour de 300 kms sur la foi d’une info donné par le Syndicat d’initiatives, s’était cassé le nez sur une porte close et sur un gardien si peu réceptif aux choses de l’art que notre Animulien avait dû se fendre d’une lettre de jérémiades au maire de l’endroit.
Il est vrai que c’était en 2002, mon petit blogounet n’existait pas. C’est dire qu’il y a prescription. Tout doit baigner bonasse aujourd’hui. Entrée (et sortie) libre tous les jours de 12h à 18h45 sauf le dimanche.

Il existe un catalogue.

19:00 Publié dans Ecrans, Expos | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : André Robillard, Clovis Prévost, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

01.06.2006

André Robillard au P’tit Ciné

Si en ces temps hyper glagla, vous vous sentez soudain, comme votre petite âme errante préférée, une envie de belgian waffles à la Chantilly (clin d’œil aux cinéphiles férus de Brooklyn Boogie) et de stoemp aux saucisses paysannes, réservez votre soirée du mardi 6 juin pour faire un tour à Bruxelles/Brussel.
Au P'tit Ciné, rue du Belvédère/ Belvederstraat, au 27, il y a la projection d’un film sur André Robillard accompagnant une exposition (Tentoonstelling von A.R.) qui commence, «en présence de l’artiste» qui ne se considère pas comme un artiste mais ça fait rien.

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André Robillard, tout le monde le connaît sur la planète brute. Cela fait bien 35 ans qu’il fabrique ses fusils hyperboliques à base de fers à repasser, pièces de réveil, sonnettes de vélo, cartouches en plastique vides et tuyaux de canalisation. Le tout ligaturé avec des rubans adhésifs de couleurs.
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Du concentré de simulacre de violence comme seuls les enfants qui jouent à la guerre savent l’apprécier. Robillard fait aussi des dessins d’engins galactiques et depuis quelque temps de la musique dont vous pouvez vous offrir un échantillon en glissant sur ma note du 13 mai 2006 si joliment intitulée Laduz, Art en marge : putain 20 ans.

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Pour en avoir plus, essayez de vous procurer le DVD In Poly-Sons dont le livret a été réalisé par Le Dernier Cri à la Friche de mai à Marseille, y’a pas si longtemps (février 2002). Pour vous prouver que ça existe, je lui emprunte les 2 images de couverture, que c’est des photos de Pascal Julou.

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23:45 Publié dans Ecrans, Expos, Zizique | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : André Robillard, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

13.05.2006

Laduz, Art en marge : putain, 20 ans !

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Le joli mois de mai ne rapporte pas que des fleurs, il est aussi propice aux anniversaires. Grande souffleuse de bougies, votre petite âme errante se permet de vous en rappeler deux. Pour rester dans la zizique, chantons d’abord en chœur pour les 20 berges du bruxellois Art en marge qui, pour l’occasion, ajoute un S dans ses bagages. ArtS en marge, donc, le jeudi 18 mai 2006 vernit son expo Musiques en marge qui durera jusqu’au 28 juillet. Au menu : le violon de Martha, Oscar et son accordéon, les percussions d’André, le clavier de Wesley, orgue et guitare de Daniel. Pour ceux qui n’auraient pas reconnu, il s’agit de Martha Grunenwaldt, Oscar Haus, André Robillard

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Wesley Willis
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et Daniel Johnston
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De vieilles connaissances et «un véritable personnage culte», selon le communiqué d’AEM, ce Johnston «idole» de Kurt Cobain, paraît-il. J’avoue que j’ignore tout de ce «semi-outsider artist and rock musician» mais y’en a une tartine sur lui dans Wikipedia et mister Larsen nous en dira peut-être plus.
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20 ans, c’est aussi le bel âge du Musée des Arts populaires de Laduz en Bourgogne. «Laduz, un lieu inspiré» nous dit l’invitation au vernissage (samedi 3 juin) de l’exposition Regards sur l’œuvre de Raymond Humbert, créateur et fondateur du musée. Le carton qui nous gratifie d’un défilé d’élégantes formes à chapeau dans la mousse est accompagné d’un dépliant avec tout le détail des rencontres, débats et démontrations qui n’occuperont pas moins de 3 jours de votre vie si vous décidez de vous offrir tout le toutim. Vendredi 2 et samedi 3 juin, vous pouvez assister à une douzaine de communications, dont une relative à l’art brut, une autre à Wilhem Uhde, le découvreur de Séraphine de Senlis. Toute une pléïade de conférenciers venus des Trads, du Musée de l’Homme, du Musée des Arts Déco pour nous parler de «La crise de l’ethnologie» ou de «La question du folklore dans notre société contemporaine». Je préfère, pour ma part, «L’humour dans l’art populaire», surtout que c’est Nelly Feuerhahn qui s’y colle et que j’ai déjà remarqué son travail sur le Struwwelpeter – un de mes héros favoris – dans Autour de Crasse-Tignasse, actes d’un Colloque tenu à Bruxelles (nouzyr vouala) en 1996 (Théâtre du Tilleul éditeur).
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23:55 Publié dans Expos, Parlotes, Zizique | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : André Robillard, Wesley Willis, Daniel Johnston, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |