30.04.2006
Roger Ouellette, un vrai patenteux
 Sans vouloir vous infliger une piqûre de rappel (votre petite âme errante n’a rien d’une infirmière), il faut que je revienne sur L’esprit de la forêt à la Halle Saint-Pierre. Dans ma note précédente du 7 avril, j’ai oublié de vous parler de Roger Ouellette. Comme je peux pas m’empêcher de chipoter, je ne me gêne pas pour râler parce que, sur le carton d’invitation, son nom est inscrit à côté de celui de Richard Greaves mais que, bernique de son site dans l’expo de la sainte Halle ! Dommage, j’aurais bien aimé savoir comment l’œil du photographe Mario del Curto avait caressé cette œuvre majeure d’un des plus fameux créateurs populaires québécois. Elle fait partie de la riche collecte glanée il y a plus de 30 balais maintenant chez nos cousins canadiens par trois courageuses têtes chercheuses encouragées par le climat de contre-culture alors assez vivace là-bas comme ici : Grobois (de), Lamothe et Nantel.
Sans vouloir vous infliger une piqûre de rappel (votre petite âme errante n’a rien d’une infirmière), il faut que je revienne sur L’esprit de la forêt à la Halle Saint-Pierre. Dans ma note précédente du 7 avril, j’ai oublié de vous parler de Roger Ouellette. Comme je peux pas m’empêcher de chipoter, je ne me gêne pas pour râler parce que, sur le carton d’invitation, son nom est inscrit à côté de celui de Richard Greaves mais que, bernique de son site dans l’expo de la sainte Halle ! Dommage, j’aurais bien aimé savoir comment l’œil du photographe Mario del Curto avait caressé cette œuvre majeure d’un des plus fameux créateurs populaires québécois. Elle fait partie de la riche collecte glanée il y a plus de 30 balais maintenant chez nos cousins canadiens par trois courageuses têtes chercheuses encouragées par le climat de contre-culture alors assez vivace là-bas comme ici : Grobois (de), Lamothe et Nantel.
Les Patenteux du Québec (1974 puis 1978), bouquin de ce trio de Louise, Raymonde et Lise, fait figure de monument historique sur les rayonnages des bibliothèques sur le sujet.
L’année dernière, le Musée de Charlevoix (région à Ouellette), à La Malbaie, a consacré une expo à Roger Ouellette. Provoquer le temps qu’elle s’appelait, in english : Stirring Up Time. La commissaire c’était Valérie Rousseau de la Société des arts indisciplinés. Malheureusement, pas de catalogue dans cette exposition charlevoixeuse.
Rien que l’impressionnante image du cheval bleu sur le carton d’invitation. Décidément, j’en ai d’la misère avec Ouellette. Pour remédier à ça, j’ai puisé dans mes photos de vacances et piqué, pour faire bon poids, quelques clichés en provenance de la S.A.I. Résultat des courses, un dodu diaporama à vous mettre sous le regard, chanceux que vous êtes! L’intérieur de la maison, le parterre autour, le musée-grange «de la civilisation» et la montagne «de la fée» : une visite du domaine de Roger Ouellette comme s’il était toujours de ce monde.
                                                    22:25 Publié dans Ailleurs, Images, Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (2)  | Tags : roger ouellette,  art brut |  |
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18.04.2006
Robert Walser, les ours et moi
 Que vous dire d’autre avant de retourner à nos moutons parisiens ?
Que vous dire d’autre avant de retourner à nos moutons parisiens ?
Que Berlin est une ville de gros nounours en résine, évocateurs de son blason.
On va de l’ours bleu d’Unter den Linden à l’ours multicolore de Karl Marx Allee en passant par le brun de Friedrich Strasse. Quand arrive le plantigrade de la rue Leipzig, on sait qu’on va pouvoir ôter son collant dont la couture vous fait des ampoules parce que Checkpoint Charlie n’est pas loin et l’hôtel non plus. C’est le moment de se reposer dans la chambre siebenhundertachtzehn avec son chéri. Celui-ci ne tarde pas à ronfler, épuisé par la visite des 4 musées ethnographiques de Dahlen où il a rencontré force «épouvantails» de Nouvelle-Guinée.
Le nez dans son guide de voyage, il rêve qu’il ascensionne la Kastanienallee dont les habitants ont les cheveux rouges et du percing plein leurs sourires.  L’onirisme aidant, il se trouve au 12, dans la galerie Kurt im Hirsch. Il y feuillette Nuevo Rodeo, l’album de Léo Quièvreux publié par Le Dernier Cri.
L’onirisme aidant, il se trouve au 12, dans la galerie Kurt im Hirsch. Il y feuillette Nuevo Rodeo, l’album de Léo Quièvreux publié par Le Dernier Cri. Il y découvre le petit cow-boy emprunté à Martin Ramirez.
Il y découvre le petit cow-boy emprunté à Martin Ramirez.
Votre petite âme errante, quant à elle, se plonge dans la lecture des proses brèves de Robert Walser, ce Suisse errant qui vécut un temps à Berlin.  Dans le recueil intitulé Retour dans la neige publié aux Editions Zoé en 1999, émotion de lire ce Château Sutz étrangement prémonitoire. On sait que Walzer fut interné en 1929 à la Waldau de Berne où il croisa Adolf Wölfli. Château Sutz passe pour une fiction à caractère utopique.
Dans le recueil intitulé Retour dans la neige publié aux Editions Zoé en 1999, émotion de lire ce Château Sutz étrangement prémonitoire. On sait que Walzer fut interné en 1929 à la Waldau de Berne où il croisa Adolf Wölfli. Château Sutz passe pour une fiction à caractère utopique.  Ce texte décrit l’existence de prisonniers d’une institution maternante qui, sous le couvert d’une pseudo-liberté, les décharge et les prive de toute véritable initiative. Métaphore de nos contemporaines démocraties, il anticipe aussi véritablement sur le destin personnel de Robert Walser. Parmi les pensionnaires de ce château aussi implacable dans son genre que celui de Kafka, «un communiste (…) qui ne se préoccupait plus d’améliorer le monde, il écrivait des vers et avait le bon goût de le faire comme quelqu’un qui établit des factures, c’est à dire très simplement.»
Ce texte décrit l’existence de prisonniers d’une institution maternante qui, sous le couvert d’une pseudo-liberté, les décharge et les prive de toute véritable initiative. Métaphore de nos contemporaines démocraties, il anticipe aussi véritablement sur le destin personnel de Robert Walser. Parmi les pensionnaires de ce château aussi implacable dans son genre que celui de Kafka, «un communiste (…) qui ne se préoccupait plus d’améliorer le monde, il écrivait des vers et avait le bon goût de le faire comme quelqu’un qui établit des factures, c’est à dire très simplement.»
                                                    00:05 Publié dans Ailleurs, Lectures, Oniric Rubric, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (3)  | Tags : robert walser |  |
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06.03.2006
Du NY Times au jardin d’Albisola
 A propos des édifices dispersés sur la propriété de Richard Greaves, Roberta Smith, la journaliste auteur de l’article, nous dispense gracieusement le conseil suivant : «Call them what you will : installation art, land art, Art Brut, Situationist sculpture or a descendant of Merzbau, Kurt Schwitter’s mythic found-object environment». On a envie de chercher l’intrus dans cette liste. Nul doute que pour beaucoup, celui-ci serait «Situationist sculpture». A la réflexion, c’est sans doute le catalogue Richard Greaves anarchitecte qui a inspiré à Ms Roberta ce terme qui aura peut-être fait se retourner Guy Debord dans sa tombe.
A propos des édifices dispersés sur la propriété de Richard Greaves, Roberta Smith, la journaliste auteur de l’article, nous dispense gracieusement le conseil suivant : «Call them what you will : installation art, land art, Art Brut, Situationist sculpture or a descendant of Merzbau, Kurt Schwitter’s mythic found-object environment». On a envie de chercher l’intrus dans cette liste. Nul doute que pour beaucoup, celui-ci serait «Situationist sculpture». A la réflexion, c’est sans doute le catalogue Richard Greaves anarchitecte qui a inspiré à Ms Roberta ce terme qui aura peut-être fait se retourner Guy Debord dans sa tombe.  L’un des auteurs dudit catalogue fait en effet état d’une postface de Debord à un livre du peintre Asger Jorn sur Le Jardin d’Albisola.
L’un des auteurs dudit catalogue fait en effet état d’une postface de Debord à un livre du peintre Asger Jorn sur Le Jardin d’Albisola.
                                                    23:30 Publié dans Gazettes, Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (1)  | Tags : art brut,  richard greaves,  guy debord,  asger jorn |  |
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07.11.2005
Luigi Buffo à l'Assiette anglaise
 Pour en revenir à Jean Teulé, je me souviens de L’Assiette anglaise l’émission de télé produite par Bernard Rapp. Teulé y présentait des personnages étonnants, «des vies et des passions peu banales derrière l’ordinaire des jours». A la fin des années 80, un bouquin était sorti là dessus où j’ai chipé cette phrase. Les Excentriques de l’Assiette anglaise (Editions Du May), c’était son titre. Aussitôt lu, je m’étais mise sur la piste de Luigi Buffo, le maçon-sculpteur des environs de Toulouse. Son dialogue de sourds avec Jean Teulé est rigolo au possible. Il illustre bien cet art de l’esquive que les créateurs d’art brut opposent à la curiosité envahissante de leurs visiteurs-esthètes («de cheval» comme dirait Bobby Lapointe) :
Pour en revenir à Jean Teulé, je me souviens de L’Assiette anglaise l’émission de télé produite par Bernard Rapp. Teulé y présentait des personnages étonnants, «des vies et des passions peu banales derrière l’ordinaire des jours». A la fin des années 80, un bouquin était sorti là dessus où j’ai chipé cette phrase. Les Excentriques de l’Assiette anglaise (Editions Du May), c’était son titre. Aussitôt lu, je m’étais mise sur la piste de Luigi Buffo, le maçon-sculpteur des environs de Toulouse. Son dialogue de sourds avec Jean Teulé est rigolo au possible. Il illustre bien cet art de l’esquive que les créateurs d’art brut opposent à la curiosité envahissante de leurs visiteurs-esthètes («de cheval» comme dirait Bobby Lapointe) :   Buffo : «Y a cinq sacs et demi de ciment dosés à deux brouettes et un sac.»
Teulé : «L’ensemble est bien composé. Y a du mouvement. C’est bien, hein !»
Buffo : «Ça fait 500 kilos ou peut-être 600.»
En fouinant un peu partout dans mon fourbi, j’ai retrouvé les modestes images de cet album, prises de mes petites mains, en visitant le site de Luigi Buffo.
 Et le premier animulier ou la première animulière qui les trouve pas bonnes, je lui fais recopier 100 fois ma pensée du jour :
Et le premier animulier ou la première animulière qui les trouve pas bonnes, je lui fais recopier 100 fois ma pensée du jour :
                                                    00:05 Publié dans Ecrans, Ogni pensiero vola, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (1)  | Tags : Luigi Buffo,  art brut |  |
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26.10.2005
Eveilleur d'idées
 Y’a pas à dire, le monde est petit. Le monde de l’art brut s’entend. Petit ou grand, c’est selon le point de vue où on se place. En tous cas, l’art brut est partout. C’est ce que j’ai pu constater pendant mon stage Jus de cervelle pour tous que mon chef de bureau vénéré m’a conseillé pour que j’apprenne à concocter des titres meilleurs que : Tsunami sur le Mont brut ou Dubuffet et les 7 nains. J’étais plutôt de mauvais poil de m’être levée une heure plus tôt que d’habitude (ce sacré stage commence à l’heure où Victor Hugo blanchit la campagne) quand j’ai eu la bonne surprise -moi qui croyait me retrouver au certificat d’études- d’être invitée à parler de mon blogue. C’est que monsieur L’Eveilleur d’idées, le gentil animateur (c’est aussi le nom de sa boîte de communication) voulait qu’on lui parle de nos loisirs. Pensez donc si je me suis vautrée dans l’Animula Vagula jusqu’au cou ! Et là, surprise encore ! Monsieur l’Eveilleur, qui passe ses ouikènes dans le sud-ouest, s’est souvenu d’un drôle de jardin de sculptures aperçu en traversant le bourg de Sauveterre de Guyenne.  A cette évocation, le petit cœur de votre petite âme errante n’a fait qu’un tour. Ça lui a rappelé un voyage en amoureux avec l’homme de sa vie.  Déjà ancien (le voyage, pas l’amoureux) puisqu’en rentrant chez moi, j’ai retrouvé quelques images d’il y a 15 ans de ce site qui tient le coup depuis son édification, par Raymond Guitet, dans les années 50 ou 60.
Y’a pas à dire, le monde est petit. Le monde de l’art brut s’entend. Petit ou grand, c’est selon le point de vue où on se place. En tous cas, l’art brut est partout. C’est ce que j’ai pu constater pendant mon stage Jus de cervelle pour tous que mon chef de bureau vénéré m’a conseillé pour que j’apprenne à concocter des titres meilleurs que : Tsunami sur le Mont brut ou Dubuffet et les 7 nains. J’étais plutôt de mauvais poil de m’être levée une heure plus tôt que d’habitude (ce sacré stage commence à l’heure où Victor Hugo blanchit la campagne) quand j’ai eu la bonne surprise -moi qui croyait me retrouver au certificat d’études- d’être invitée à parler de mon blogue. C’est que monsieur L’Eveilleur d’idées, le gentil animateur (c’est aussi le nom de sa boîte de communication) voulait qu’on lui parle de nos loisirs. Pensez donc si je me suis vautrée dans l’Animula Vagula jusqu’au cou ! Et là, surprise encore ! Monsieur l’Eveilleur, qui passe ses ouikènes dans le sud-ouest, s’est souvenu d’un drôle de jardin de sculptures aperçu en traversant le bourg de Sauveterre de Guyenne.  A cette évocation, le petit cœur de votre petite âme errante n’a fait qu’un tour. Ça lui a rappelé un voyage en amoureux avec l’homme de sa vie.  Déjà ancien (le voyage, pas l’amoureux) puisqu’en rentrant chez moi, j’ai retrouvé quelques images d’il y a 15 ans de ce site qui tient le coup depuis son édification, par Raymond Guitet, dans les années 50 ou 60.  
                                                    00:45 Publié dans Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (1)  | Tags : Raymond Guitet,  art brut |  |
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13.10.2005
Album Richard Greaves
                                                    00:50 Publié dans Ailleurs, Images, Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (2)  | Tags : richard greaves,  art brut |  |
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19.09.2005
Caramba! encore raté!
Dans la série « Caramba ! encore raté ! », votre petite âme errante a loupé pour vous la conférence du collectionneur Bruno Decharme à la maison rouge jeudi dernier et la projection aujourd’hui, au cinéma Max Linder, d’Aloïse le film féministe de Liliane de Kermadec dans lequel Delphine Seyrig marienbadise en marmonnant des petits riens que l’on dirait frais pondus par Marguerite Duras.
 Entre temps j’ai passé un bon ouik à Bruxelles, où l’on mange du kangourou dans les restos, ce qui fait que dimanche toute la ville sautillait pour la journée sans voitures.
J’en ai profité pour aller au marché aux puces où j’ai chiné pour 2 thunes un vieux bouquin d’Izzo sur La Cuisine exotique, insolite, érotique. Joseph Delteil a raison de dire qu’il y a « la cuisine brute comme il y a l’art brut ». Je suis restée scotchée devant la recette (tchèque) de la soupe au mou de veau : Faire dégorger le mou 3 h dans l’o salée. Le cuire ¼ d’h dans une nouvelle o, le couper en dés, le faire revenir dans le saindoux avec oignon émincé. Ajouter une cuiller à soupe de farine, mélanger. Saler, poivrer + petit peu de vinaigre. Laisser bouillir 5 mn. Servir sur croûtons frits
En passant rue Haute, je suis allé photographier la boîte aux lettres de la galerie Art en marge
 
  Dans la même rue, j’ai redécouvert cette drôle de petite librairie dont la vitrine s’orne de proclamations radicales et d’accumulations d’objets hétéroclites non moins
Dans la même rue, j’ai redécouvert cette drôle de petite librairie dont la vitrine s’orne de proclamations radicales et d’accumulations d’objets hétéroclites non moins
 alléchantes.
Pour finir, dans une ruelle un peu merdique située entre la rue Blaes et la rue Haute, devant chez Mohammed le coiffeur, près d’une limousine qui stationnait là en attendant des mariés, je me suis régalée d’une palissade assez sanglante peinte par des enfants.

Ou plutôt non.
 Encore un petit snif pour Jacques Lacarrière, l’auteur de Chemin faisant parce que cet infatigable marcheur (1000 km à pied à travers la France) vient de poser définitivement son sac sur le bord de la route de la vie.
Encore un petit snif pour Jacques Lacarrière, l’auteur de Chemin faisant parce que cet infatigable marcheur (1000 km à pied à travers la France) vient de poser définitivement son sac sur le bord de la route de la vie.
                                                    23:55 Publié dans In memoriam, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : Jacques Lacarrière,  art brut |  |
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06.09.2005
Animula, le retour
Vous allez me dire que j’ai commencé fort avec mes histoires de Favreau et de Rapeau. Et je vous parle pas du vieux Pineau (18°) dont j’ai abusé pendant les vacances et dont je sifflote encore une petite provision.
 C’est que votre petite âme errante est de retour. Il faut vous y faire.
 Du chemin, elle en a parcouru, sous un soleil à faire rissoler le maïs, le long des départementales de nos belles provinces d’Aunis et de Saintonge réunies. Là bas, le temps d’une saison touristique à mort, rien que des rencontres.
 

Rencontres avec les âmes bien vivantes de monsieur Loulou, sculpteur cagouillard aux styles contrastés


 Rencontres avec les âmes du passé dans plein de petites églises romanes aux chapiteaux plutôt dégourdis

ou aux murs couverts d’épatants signes gravés par les maçons du XIIe siècle.


 Et puis plusieurs jardins extraordinaires, du plus anonyme, déniché par hasard (et identifié ensuite comme celui de Franck Vriet)


Un été bien rempli, une bonne cuvée.
J’ai horreur des 4 Saisons de Vivaldi, alors je vous les jouerai pas mais je compte bien vous entraîner dans mes dérives d’automne, d’hiver et de printemps. Toute l’année à la peine, votre petite âme, toute l’année à la joie des découvertes et au petit bonheur des surprises.
Animula
                                                    00:25 Publié dans Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (2)  | Tags : Graffiti,  Franck Vriet,  Albert Gabriel,  art brut |  |
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04.09.2005
La Bohème à Yviers
Si je vous dis La Bohême, ce n’est pas à la chanson du crooner arménien que je pense mais à la maison de Lucien Favreau perdue dans la campagne charentaise.
 Cela faisait 15 ans que je ne l’avais vue et j’ai eu la bonne surprise de la retrouver intacte et son jardin de sculptures aussi.
 
                                                    22:30 Publié dans Sites et jardins, Vagabondages  | Lien permanent  | Commentaires (2)  | Tags : lucien favreau,  art brut |  |
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