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14.06.2006

Vivian girl de brocante

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Evidemment, il fallait s’y attendre, je vois des Vivian girls partout. Comme je suis plutôt raide en ce moment et qu’il y a peu de chance que vous vous cotisiez pour offrir un Darger à votre «chère Animula», elle doit se contenter de «tableaux trouvés», des «Darger ready made» en quelque sorte. C’est ainsi que suis tombée dans une brocante sur cette drôle de petite fille aux jambes nues, dressée sur la pointe de ses pieds trop grands pour rattraper son ballon qui s’échappe. «Ma pauvre Ani, je reconnais bien là ton goût pour l’illustration» m’a dit avec un rien de mépris, la méchante Reinette qui chinait ce jour-là avec moi. Elle n’aime pas la petite robe à parements blancs : «on dirait des dents sur une mâchoire». Je sais bien qu’elle n’a pas tout à fait tort mais comme ma petite cousine Lara me supplie de lui envoyer quand même l’image de cette pseudo Vivian girl, je m’exécute.

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08.06.2006

Henry Darger, chevalier de maison rouge

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Je croyais être la première, j’avais même fait des pieds et des mains pour me glisser parmi les beaux messieurs et les jolies madames le soir de la preview de la maison rouge et patatras!, monsieur Philippe Dagen m’a brûlé la politesse.
De Dagen à Darger, il n’y a qu’un pas et le critique du Monde l’a franchi pour filer un coup d’accélérateur à la remarquable expo Henry Darger, bruit et fureur qui commence maintenant et qui se terminera le 24 septembre 2006. Une grosse demi-page dans la rubric culture et un petit zakouski en première page du n° du 8 juin 2006, sans compter 2 photos couleurs dont une représentant un charmant serpent blengigloménéen à tête humaine.
Qu’esse que vous voulez dire après ça ? Chipoter Dagen parce qu’il écrit que c’est «la première fois» que les «illustrations» qui accompagnent «le roman dactylographié» de Darger «sont exposées à Paris» ? Peut-être. Je vous laisse le soin de le faire, mes chers fouineurs animuliens, car j’ai la flemme de retrouver les traces des précédentes visites du solitaire de Chicago dans notre bonne capitale.
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Je préfère emboucher ma modeste trompette pour vous engager à mon tour à vous rendre dans cette expo qui sera -je pèse mes mots (sur une balance de pharmacien)- un événement brut marquant de l’année.
L’accrochage des grands tableaux biface de Henry Darger est un modèle de légèreté. Pendus au plafond par des câbles, ils donnent l’impression de flotter dans la grande salle repeinte pour l’occasion en blanc, turquoise, vieil-orange et chocolat éteint, couleur logo de la maison. Sur les murs, des études pour des girls scouts ou des généraux, des drapeaux des nations dargeriniennes, de grands collages dont le vernis a tourné à la patine brune, rien que des trucs qui à eux seuls mériteraient le déplacement.
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Un bel album plus large que haut vous permet de ramener chez vous les fortes images de tout ça. Le texte : The singular life and art of Henry Darger est de Edward Madrid Gomez et pour ceux qui préfèrent le lire en français, il y a une traduction par Valérie Rousseau. Les œuvres du Dear Henry étant représentées par la Galerie Andrew Edlin, celui-ci s’est chargé de la préface qui se résume à des remerciements. Saluons toutefois la performance de ce New Yorkais pur jus qui a eu l’élégance de faire un discours en français (oui, oui, oui) le soir de l’inauguration.

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06.06.2006

Noyers, Laduz, Dicy : un trio gagnant

Ereintant ces ouikènes qui n’en sont pas! Votre petite âme errante, s’étant vu sucrer son lundi de Pentecôte, a dû jouer les filles de l’air pour faire tout ce qu’elle avait prévu de vous montrer. Je suis donc allée caresser pour vous les ânes de Laduz qui ont tendance à bouffer les chapeaux de paille des visiteuses. Il faisait encore soleil pour le coquetèle champêtre et une équipe de joyeux congressistes s’est égayée sur l’herbe, bolée de cidre à la main et gougère dans la bouche. Assistance variée. On comptait même des représentants de la Belle Province. Quelques enfants mais les baby-boumeurs en majorité : mon daddy était content. Auparavant j’avais poussé une reconnaissance jusqu’au musée de Noyers sur Serein que j’avais pas vu depuis la saint Glinglin.
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Outre la collection Yankel où l’on peut dénicher par ci, par là quelques témoignages d’art brut parmi les naïfs qui la composent, je me suis amusée comme une folle avec les milliers d’objets de la collection Jacqueline Selz et Yvon Taillandier. Malheureusement, c’est le moment qu’ont choisi les saletés de piles de mon cyber-shot pour tomber en rideau.
Je n’ai donc pu attraper qu’une partie des sifflets des Baléares, ex-votos en cire, boîtes indiennes, jouets en fer blanc, instruments à zizique et autres féériques babioles d’art populaire dont certaines flirtent avec notre domaine. Heureusement, ils vendent un bouquin à la caisse : De la Collection Selz-Taillandier à la figuration libératrice (2004).

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Mal maquetté mais il contient beaucoup de reproductions, pas terribles mais enfin ! 25 €, quand on aime on compte pas. Le 10 juin à 15 heures est prévu le vernissage de l’exposition Ex-voto, collections Lagrange et Geyssand et d’après les préparatifs que j’ai pu surprendre, je vous jure que ça vaut le détour.
Pour finir, après une nuit réparatrice sur les bords de l’Yonne, j’ai pas pu m’empêcher de faire un tour à la Fabu le dimanche, sous prétexte de brocante à Dicy (vérifiez, c’est vrai). Visite toujours enchanteuse. Comme je ne veux pas vous prendre la tête plus longtemps, je me contente de vous signaler la nouvelle niche où sont dévotement installés les tiares et autres objets sacrés de la religion personnelle de Palmerino Sorgente, créateur de Montréal récemment disparu. C’est dans le couloir blanc non loin de l’entrée, à côté de Podesta, s’il vous plaît.

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23:55 Publié dans Glanures, Vagabondages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Palmerino Sorgente | |  Imprimer | | Pin it! |

01.06.2006

André Robillard au P’tit Ciné

Si en ces temps hyper glagla, vous vous sentez soudain, comme votre petite âme errante préférée, une envie de belgian waffles à la Chantilly (clin d’œil aux cinéphiles férus de Brooklyn Boogie) et de stoemp aux saucisses paysannes, réservez votre soirée du mardi 6 juin pour faire un tour à Bruxelles/Brussel.
Au P'tit Ciné, rue du Belvédère/ Belvederstraat, au 27, il y a la projection d’un film sur André Robillard accompagnant une exposition (Tentoonstelling von A.R.) qui commence, «en présence de l’artiste» qui ne se considère pas comme un artiste mais ça fait rien.

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André Robillard, tout le monde le connaît sur la planète brute. Cela fait bien 35 ans qu’il fabrique ses fusils hyperboliques à base de fers à repasser, pièces de réveil, sonnettes de vélo, cartouches en plastique vides et tuyaux de canalisation. Le tout ligaturé avec des rubans adhésifs de couleurs.
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Du concentré de simulacre de violence comme seuls les enfants qui jouent à la guerre savent l’apprécier. Robillard fait aussi des dessins d’engins galactiques et depuis quelque temps de la musique dont vous pouvez vous offrir un échantillon en glissant sur ma note du 13 mai 2006 si joliment intitulée Laduz, Art en marge : putain 20 ans.

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Pour en avoir plus, essayez de vous procurer le DVD In Poly-Sons dont le livret a été réalisé par Le Dernier Cri à la Friche de mai à Marseille, y’a pas si longtemps (février 2002). Pour vous prouver que ça existe, je lui emprunte les 2 images de couverture, que c’est des photos de Pascal Julou.

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23:45 Publié dans Ecrans, Expos, Zizique | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : André Robillard, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

31.05.2006

Addio Santoro !

Une pensée animulienne ce soir pour Courtelary qui vient de perdre un de ses enfants, le «sublime rebelle» Eugenio Santoro, comme l’appelle le Journal du Jura. Pour ceux qui ne seraient pas encore abonnés à ce canard, rappelons que Courtelary est une commune du canton de Berne en Suisse, situé à 14 km (à vol de canard) de la ville de Bienne. Aux dernières nouvelles elle abriterait une fabrique de chocolat (comme c’est original !) où Eugenio Santoro aurait travaillé. Comme son nom l’indique, Santoro était d’origine italienne et établi en Suisse en 1964. Depuis sa naissance dans le Mezzogiorno en 1920 il avait eu déjà le temps de goûter à la misère, à la guerre en Albanie, aux camps de prisonniers en Allemagne.

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Ce menuisier d’allure chétive aimait bien s’attaquer à des sculptures assez balèzes qu’il tirait des troncs des arbres fruitiers de son jardin. Il les chouchoutait, les couvrait de couleurs, accentuait leur petit air penché, la distorsion de leur allure qui les éloignent de toute grâce intempestive.

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Photo Mario del Curto, 1991

La Collection de l’art brut ne s’y est pas trompée qui lui a consacré une exposition fin 2004/début 2005. En ces temps barbares Animula Vagula The blogue n’existait pas encore. Il faut donc chercher dans votre fouillis pour retrouver le dépliant édité à cette occasion par la Maison mère. Carton auquel j’emprunte plusieurs de mes images.

01:05 Publié dans Gazettes, In memoriam | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Eugenio Santoro, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

27.05.2006

En juin abcd s’expose à Prague

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Je parlais de mes petits dadas, au premier rang desquels, bien sûr, il y a l’art brut. Que voulez-vous, c’est ainsi, j’aime l’art brut, je suis en amour avec l’art brut, votre petite âme errante est raide fondue d’art brut, brutichou, brutissime. J’aime que pour lui on se décarcasse. C’est pourquoi j’apprécie le beau matos. Aussi je ne résiste pas au plaisir de vous signaler le craquant carton d’une très prochaine exposition praguoise. C’est encore l’asso abcd qui est là-dessous et son invitation, à la différence de la précédente à Montreuil qui abusait des paillettes, renoue avec des tonalités ocre ou orangé, des effets de terre d’un luxe austère qui me font gamberger un max et ne sont pas sans me rappeler certaines gravures du Dubuffet des années pré-hourloupines (le premier qui ajoute : «de mouche», je l’allume grave !).
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C’est peut-être au contexte bohémien que nous devons cette réintrojection de mystère. Ne sommes-nous pas en effet dans une ville où s’attache de grands lambeaux de surréalisme brumeux et de fantastique kafkaïen ? Je m’égare, je m’égare… Pour les ceux et celles qui veulent aller au delà de l’image du tchèque Luboš Plný qui sert d’emblème blème à cette expo de la collec (une de plus après Athènes, la Finlande, L’isle-sur-la Sorgue, Paris, le Japon, etc.) offrez vous le voyage jusqu’au site abcd avant de vous offrir celui jusqu’à la Galerie hlavniho mesta Prahy (City gallery Prague) le mardi 13 juin à 17 h.
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Si j’ai bien compris, en parallèle à cette expo, abcd fait tourner Janco Domsic et Zdenek Kosek (pardon pour les petits chapeaux à l'envers que mon clavier n’accepte pas de coller sur certaines lettres). C’est à la Galerie Stépanska le 15 juin, avec la bénédiction du Francouzsky Institut v Praze (French Institut of Prague), autrement dit l’Institut Français de Prague, ce qui nous fait tout de même un peu de langue française à nous mettre sous la dent.

15:40 Publié dans Ailleurs, Expos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abcd, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

26.05.2006

Aliénation créatrice

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C’est tout plié, imprimé sur du papier blanc sale, ça n'a que 16 pages et les agrafes commencent à rouiller mais ça fait partie des vieilles choses dont raffole votre petite collectionneuse d’âme errante.
Vu que l’été arrive et que je crains les bibites (comidizo Québec) j’étais partie faire ma provision d'anti-moustiques au Vieux Campeur, rue Saint-Jacques mais j’ai pas pu m’empêcher de jeter d’abord un œil sur la librairie toute proche.
La librairie Henri Vignes, c’est le genre d’établissement où les écrans de la modernité se combinent très bien avec les charmes de l’anticaille. Le libraire a tout dans la tête avant d’avoir tout dans le disque dur. Pas son pareil pour se souvenir des p’tits dadas de ses clientes. Il m’a tout de suite mis entre les mains son sourire charmant et cette conférence du docteur Ferdière prononcée à la séance inaugurale du congrès Folia Psychiatrica, Neurologia et Neurochirugica Neerlandica (à vos souhaits !).
J’ai acheté très vite cette Aliénation créatrice parce que j’ai aperçu ce passage (qui prouve qu’en 1948 certaines idées étaient dans l’air) en me disant que ça intéressera peut-être l’archiviste qui sommeille en vous :
«(…) je voudrais renouveler ici un appel que j’ai lancé en 1938 avec Jacques Vié en faveur d’un musée-laboratoire psychopathologique; je peux d’ailleurs dire ici que ce musée peut fort bien se concevoir international. Il comprendrait des collections d’œuvres de toutes sortes : peintures, sculptures, broderies, décorations, poupées, instruments de musique, les observations, les dossiers -rendus bien sûr anonymes- des auteurs morbides, des ouvrages traitant de la question, des jeux de fiches accessibles aux médecins mais aussi aux psychologues, aux sociologues, aux ethnologues et folkloristes, aux critiques et aux artistes. Ainsi se trouveraient possibles tous les indispensables contacts et toutes les confrontations».
Evidemment en sortant, j’ai plus pensé aux maringouins.
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21:00 Publié dans Lectures, Zizique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Gaston Ferdière | |  Imprimer | | Pin it! |

25.05.2006

Le général Gingersnap décortiqué

Le général Gingersnap fait des ravages. Figurez-vous qu’un de mes lecteurs, amateur de biscuits au gingembre, a décortiqué ce tablô avec sa fourchette à escargogito. Si vous n’êtes pas curieux, restez-en là, mes chères animulionnes (et chers animulions). Mais si vous voulez looker le résultat qu'il m'a envoyé, bougez-vous la souris et cliquez là-dessous. Comme c’est plutôt trapu (Bac + 13 bienvenus), votre petite âme errante, qui est une mère pour vous, a rajouté l’icono pour faciliter la digestion.

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15:05 Publié dans De vous zamoi, Ecrits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Henry Darger, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

21.05.2006

Happy birthday to Andrew Edlin Gallery

Sur le front des anniversaires, j’ai encore à vous signaler -mais il faut vous grouiller de faire renouveler votre passeport parce que ça se termine le 17 juin- l’exposition de la Galerie Andrew Edlin à NYC à l’occasion de son cinquième anniversaire.

Vous y retrouverez un tas de chouettes copains parmi lesquels Vahakn Arslanian, Carl Binder, Herman Bossert, Marc Lamy, Adolf Wölfli et des que je connais moins comme Tom Duncan, Michael Ryan, John Spinks et Paul Edlin qui n’est autre que l’oncle du galeriste nouillorquais. Le très chiadé carton d’invitation dépliant énumère tous ces noms et bien d’autres sur fond noir avec accompagnement de vermicelles oranges.
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Il est illustré d’un croquignolet portrait du général Gingersnap par Henry Darger aux belles bacchantes. Le texte d’Andrew Edlin, qui marche avec, nous raconte ses voyages «to Switzerland in 2002 to track down the art of Hans Krüsi led to the first exhibition of his work outside of Europe». Pour ceux qui en aurait un peu soupé des vaches qui n’ont que trop tendance en ce moment à nous conduire sur le sentier de la Force de l’Art, précisons que l’invit de l’Andrew Ed Gall nous annonce aussi l’imminence de l’exposition Darger à La maison rouge à Paris, Sound and Fury : The Art of Henry Darger (June 8, 2006). Ce qui intéressera sans doute tous les ceusses et toutes les celles qui n’aiment pas que les douanes américaines fouillent trop souvent leurs petits corps de rêve. «We are publishing» nous allèche le francophile Andrew «an 80-page catalogue for the occasion».
C’est pas super ?

10:50 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henry darger, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

16.05.2006

Le Norm’s style, c’est pas possible

medium__invitation_norman.2.jpgEncore une fois mes lecteurs m’ont coupé l’herbe sous le peton.
Je me le gardais en réserve le Normand L’Amour, des fois que je manquerais de munitions.
Et puis, l’expo d’Art en marge ne présente que des peintres/sculpteurs musiciens ou des musiciens peintres/sculpteurs, comme vous préférez. Bon, je suis de bonne humeur, petits veinards, je vais satisfaire votre curiosité piquée à coup sûr par madame Lili dans son dernier commentaire.
Normand ne peint pas. Il chante. Il compose aussi, même comme il dit, «s'il ne connaît pas la musique». Les paroles, c’est Dieu en personne qui les lui souffle. Faut dire que c’est de Jésus que Normand Cournoyer tient son pseudo : L’Amour.

A 75 ans ce «mangeur d’orteils» de St Joseph de Sorel, Montréalais d’adoption a écrit plus de 650 chansons et enregistré 72 K7 et/ou CD. Chanter en 75 langues différentes ne le gêne pas grâce à son logiciel de traduction. Des logiciels, cet autodidacte en a d’autres. Band-in-Box écoute Normand, il suit ses ordres donnés par sa main droite sur le clavier. S’il égrène des «notes qui sont en trop», Normand le corrige et les supprime. Le résultat ? Jugez vous-même :

Les faux bourdons
podcast
Dans la cuisine
podcast
La petite poule d'eau
podcast
Wow! Wow!
podcast

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Cette année, Normand est passé à la télé. Maintenant, tout le Québec le connaît et le rencontre, les ouikennes, sortie 202, autoroute 20, restaurant Le Madrid. Allez y, il imposera les mains pour choisir la K7 qu’il vous faut.
Moi, je possède depuis 1999 le CD intitulé
C’est pas possible.


23:50 Publié dans Zizique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Normand L'Amour | |  Imprimer | | Pin it! |