14.06.2006
Vivian girl de brocante
23:28 Publié dans Glanures | Lien permanent | Commentaires (0) | | Imprimer | | |
08.06.2006
Henry Darger, chevalier de maison rouge
23:55 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Henry Darger, art brut | | Imprimer | | |
06.06.2006
Noyers, Laduz, Dicy : un trio gagnant
Outre la collection Yankel où l’on peut dénicher par ci, par là quelques témoignages d’art brut parmi les naïfs qui la composent, je me suis amusée comme une folle avec les milliers d’objets de la collection Jacqueline Selz et Yvon Taillandier. Malheureusement, c’est le moment qu’ont choisi les saletés de piles de mon cyber-shot pour tomber en rideau.
Je n’ai donc pu attraper qu’une partie des sifflets des Baléares, ex-votos en cire, boîtes indiennes, jouets en fer blanc, instruments à zizique et autres féériques babioles d’art populaire dont certaines flirtent avec notre domaine. Heureusement, ils vendent un bouquin à la caisse : De la Collection Selz-Taillandier à la figuration libératrice (2004).
Mal maquetté mais il contient beaucoup de reproductions, pas terribles mais enfin ! 25 €, quand on aime on compte pas. Le 10 juin à 15 heures est prévu le vernissage de l’exposition Ex-voto, collections Lagrange et Geyssand et d’après les préparatifs que j’ai pu surprendre, je vous jure que ça vaut le détour.
Pour finir, après une nuit réparatrice sur les bords de l’Yonne, j’ai pas pu m’empêcher de faire un tour à la Fabu le dimanche, sous prétexte de brocante à Dicy (vérifiez, c’est vrai). Visite toujours enchanteuse. Comme je ne veux pas vous prendre la tête plus longtemps, je me contente de vous signaler la nouvelle niche où sont dévotement installés les tiares et autres objets sacrés de la religion personnelle de Palmerino Sorgente, créateur de Montréal récemment disparu. C’est dans le couloir blanc non loin de l’entrée, à côté de Podesta, s’il vous plaît.
23:55 Publié dans Glanures, Vagabondages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Palmerino Sorgente | | Imprimer | | |
01.06.2006
André Robillard au P’tit Ciné
Si en ces temps hyper glagla, vous vous sentez soudain, comme votre petite âme errante préférée, une envie de belgian waffles à la Chantilly (clin d’œil aux cinéphiles férus de Brooklyn Boogie) et de stoemp aux saucisses paysannes, réservez votre soirée du mardi 6 juin pour faire un tour à Bruxelles/Brussel.
Au P'tit Ciné, rue du Belvédère/ Belvederstraat, au 27, il y a la projection d’un film sur André Robillard accompagnant une exposition (Tentoonstelling von A.R.) qui commence, «en présence de l’artiste» qui ne se considère pas comme un artiste mais ça fait rien.
Du concentré de simulacre de violence comme seuls les enfants qui jouent à la guerre savent l’apprécier. Robillard fait aussi des dessins d’engins galactiques et depuis quelque temps de la musique dont vous pouvez vous offrir un échantillon en glissant sur ma note du 13 mai 2006 si joliment intitulée Laduz, Art en marge : putain 20 ans.
Pour en avoir plus, essayez de vous procurer le DVD In Poly-Sons dont le livret a été réalisé par Le Dernier Cri à la Friche de mai à Marseille, y’a pas si longtemps (février 2002). Pour vous prouver que ça existe, je lui emprunte les 2 images de couverture, que c’est des photos de Pascal Julou.
23:45 Publié dans Ecrans, Expos, Zizique | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : André Robillard, art brut | | Imprimer | | |
31.05.2006
Addio Santoro !
Une pensée animulienne ce soir pour Courtelary qui vient de perdre un de ses enfants, le «sublime rebelle» Eugenio Santoro, comme l’appelle le Journal du Jura. Pour ceux qui ne seraient pas encore abonnés à ce canard, rappelons que Courtelary est une commune du canton de Berne en Suisse, situé à 14 km (à vol de canard) de la ville de Bienne. Aux dernières nouvelles elle abriterait une fabrique de chocolat (comme c’est original !) où Eugenio Santoro aurait travaillé. Comme son nom l’indique, Santoro était d’origine italienne et établi en Suisse en 1964. Depuis sa naissance dans le Mezzogiorno en 1920 il avait eu déjà le temps de goûter à la misère, à la guerre en Albanie, aux camps de prisonniers en Allemagne.
Ce menuisier d’allure chétive aimait bien s’attaquer à des sculptures assez balèzes qu’il tirait des troncs des arbres fruitiers de son jardin. Il les chouchoutait, les couvrait de couleurs, accentuait leur petit air penché, la distorsion de leur allure qui les éloignent de toute grâce intempestive.
La Collection de l’art brut ne s’y est pas trompée qui lui a consacré une exposition fin 2004/début 2005. En ces temps barbares Animula Vagula The blogue n’existait pas encore. Il faut donc chercher dans votre fouillis pour retrouver le dépliant édité à cette occasion par la Maison mère. Carton auquel j’emprunte plusieurs de mes images.
01:05 Publié dans Gazettes, In memoriam | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Eugenio Santoro, art brut | | Imprimer | | |
27.05.2006
En juin abcd s’expose à Prague
15:40 Publié dans Ailleurs, Expos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abcd, art brut | | Imprimer | | |
26.05.2006
Aliénation créatrice
21:00 Publié dans Lectures, Zizique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Gaston Ferdière | | Imprimer | | |
25.05.2006
Le général Gingersnap décortiqué
15:05 Publié dans De vous zamoi, Ecrits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Henry Darger, art brut | | Imprimer | | |
21.05.2006
Happy birthday to Andrew Edlin Gallery
Sur le front des anniversaires, j’ai encore à vous signaler -mais il faut vous grouiller de faire renouveler votre passeport parce que ça se termine le 17 juin- l’exposition de la Galerie Andrew Edlin à NYC à l’occasion de son cinquième anniversaire.
10:50 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : henry darger, art brut | | Imprimer | | |
16.05.2006
Le Norm’s style, c’est pas possible
Encore une fois mes lecteurs m’ont coupé l’herbe sous le peton.
Je me le gardais en réserve le Normand L’Amour, des fois que je manquerais de munitions.
Et puis, l’expo d’Art en marge ne présente que des peintres/sculpteurs musiciens ou des musiciens peintres/sculpteurs, comme vous préférez. Bon, je suis de bonne humeur, petits veinards, je vais satisfaire votre curiosité piquée à coup sûr par madame Lili dans son dernier commentaire.
Normand ne peint pas. Il chante. Il compose aussi, même comme il dit, «s'il ne connaît pas la musique». Les paroles, c’est Dieu en personne qui les lui souffle. Faut dire que c’est de Jésus que Normand Cournoyer tient son pseudo : L’Amour.
Les faux bourdons
Dans la cuisine
La petite poule d'eau
Wow! Wow!
Moi, je possède depuis 1999 le CD intitulé
23:50 Publié dans Zizique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Normand L'Amour | | Imprimer | | |