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29.03.2009
Fusil chinois rapide
Puisqu’on parle du loup, parlons de Robillard à la Création Franche. André Robillard est un tant grand monsieur de l’art brut que ça crépite de partout autour de son nom. Le Net n’est pas avare de bios et de commentaires sur ce valeureux fabricant d’armes à feu qui fonctionnent exclusivement à la poudre d’émotion fleur de peau et à la violence apprivoisée. Des kalachnikovs pour-de-faux, plus offensives que des pour-de-vrai, tellement elles sont plus touchantes !
Mon chéri que j’ai, il les adore les super-fusils de Robillard. Ils lui font penser à ceux d’Alexandre Lobanov : c’est la même agressivité pur jus, «d’autant plus pure qu’elle est faite pour ne s’exercer jamais» qu’il dit, mon chéri.
Il aurait voulu en avoir des comme ça quand il était petit. Il peut pas s’empêcher de jouer encore avec à son âge. Après, il me tanne pour que je le photographie dans sa tenue de terroriste en peau de lapin brut.
Si je l’écoutais, il irait comme ça à l’inauguration de l’exposition André Robillard le vendredi 3 avril 2009 au Musée de la Création Franche.
C’est à partir de 18 heures (d’été) à Bègles et on nous promet 3 salles avec des dessins et des sculptures, plus une 4e salle en bonus avec un «espace documentaire constitué autour de la vie» du cher et respecté Robi.
Les Animuliens et leurs copains qui pourront rester dans le coin juqu’au 4 avril auront en plus l’avantage d’assister à une rencontre-débat (tout c’qu’on aime) à la Bib de Bègles. Avec dans les rôles principaux : Lucienne Peiry, Cardinal Roger et, et, et… Gérard Sendrey, Nouvel Inventeur, «initiateur et créateur de la Création Franche» et du Musée du même métal.
Pour ceux que leurs activités détourneraient de ces folies bèglaises, qu’ils sachent qu’ils ont jusqu’au 19 avril 2009 pour s’offrir la rando jusqu’à l’expo Robi perso.
L’œuvre d’André Robillard avait déjà été montrée au MCF mais dans le cadre d’une expo collective de 1997, celles des collectionneurs Eternod et Mermod.
21:31 Publié dans Expos, Parlotes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art brut, andré robillard | | Imprimer | | |
27.03.2009
Ça bouge à Carouge
Ce fut la voix du site. Le site de la CF. La voix du musée de la Création Franche à Bègles. On téléphonait, on tombait sur elle, une voix toujours claire, toujours enjouée. Celle de Sophie Gaury. Toute jeune déjà, c’est le genre de personne qui générait le calme autour d’elle. Coopérative, sportive, jamais fatiguée de nous répéter toujours la même chose. Que oui, le canard allait sortir, que non l’expo était pas encore accrochée mais qu’on pourrait quand même en voir un petit bout puisqu’on repartait à Paris par le premier T.G.V…
Aujourd’hui qu’elle a décidé de voler de ses propres ailes comme elle vole sur ses skis, elle me signale sa «première grande première en tant qu’organisatrice». Tout près des montagnes, naturellement. A Carouge, 43 route des Jeunes. Une adresse qui lui va comme un gant. Elle présente un régional de l’étape, François Burland et, comme elle n’a pas encore tout à fait coupé le
cordon ombilical, Gérard Sendrey dont elle était, il y a peu encore, la fidèle collaboratrice. Souhaitons lui bon vent, bonne neige. Hardi Sophie !
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23.03.2009
De la Halle st Pierre au Carreau du Temple
De Macréau au Carreau : vous mettez pas la tête dans le sable, c’est une dure et exaltante semaine qui vous attend, mes petits Animuliens chéris. Mieux vaut l’admettre de bonne grâce. Cela commence tout de suite très fort par du lourd : une paire d’expos maouse-costaudes et des plus mystérieuses, et des plus raffinées à la HSP, en clair la Halle Saint Pierre de Montmartre. En haut, près du ciel, une exposition Michel Macréau d’envergure (y en a-t-il déjà eu une comme ça à Paris, je crois pas). En bas dans la salle noire, le feu d’artifice d’Anselme Boix-Vives.
Comme j’adore jouer les Musidora, je me suis fait toute petite et je suis allée faire de l’espionnage au pavillon style Baltard. J’ai vu passer des splendeurs (un portrait de la mère de Macréau par son fils notamment) halées dans l’escalier par des gros bras extrêmement délicats. Hélas, comme je suis pas très forte comme rat d’hôtel (ou comme souris de Halle), je me suis fait repérer très vite. Ski fait que j’suis logée à la même enseigne que tout le monde et que je dois ronger mon frein jusqu’au double vernissage qui aura lieu demain mardi 24 mars 2009 à 18 h 30.
Halles et marché étant faits pour s’entendre, je vous invite, dès le lendemain, à glisser en douceur des altitudes du 18e arrondissement aux folies bourgeoises du 3e. Le mercredi 25 mars en effet et toujours à 18 h 30 (l’heure des vernissages) c’est le Salon du dessin contemporain qui commence au Carreau du Temple 1, rue Dupetit Thouars.
Je sais pas qui était ce petit Thouars mais j’ai repéré, dans la liste des participants, des galeries qui devraient mériter la bénédiction animulienne : Edlin of New York, Margaron of Paris et … Objet Trouvé avec un V comme Vitalité.
Glissée parmi ces vaisseaux de ligne, la frégate de Bertrand Lacy vous embarquera 58 rue des Trois-Frères (à la Galerie des 3 Frères, bien sûr) le 24 mars aussi à 18h, une demi-heure avant la HSP par conséquent.
Comme la rue des Trois-Frères est quasiment à touche-touche avec la rue Ronsard, vous avez le temps, avant Macréau/Boix-Vives de vous offrir le show Lacy en zakouski. Bertrand Lacy, vous l’avez vu à la télé mais là c’est pas comme comédien que vous aurez l’occasion de lui demander de dédicacer son Brouillon de lune, un livre d’images, de typographies et de pensées vagabondes, mais comme artiste.
Bertrand Lacy a résolu, avec beaucoup (ou trop ?) de modestie de sauter le pas séparant le collectionneur d’art naïf et d’art brut qu’il est du plasticien qu’il avait envie d’être depuis sa jeunesse. A voir donc et à suivre…
23:55 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : art brut, michel macréau, anselme boix-vives | | Imprimer | | |
21.03.2009
Giovanni Bosco, l’Irrégulier du Bd Haussmann
Hier, je voulais vous dire 2 mots d’un nouveau lieu d’art brut européen mais j’ai été emportée dans les bras de Morphée vite fait-bien fait. Faut dire que la journée avait été rude rapport à la nuit d’avant où on s’était déchirées un brin à la kro-tequila avec les copines. En plus, pour 15 € (quand même), je me suis offert en TGV la visite d’Art Paris entre midi et demi et 1h30. C’est une heure délicieuse pour parcourir une foire d’art moderne + contemporain.
Le Grand Palais rutile sous le soleil. Les marchands baillent et leurs madames commentent la salade en barquette. On croise, près des wa-wa le gros bouledogue, on s’amuse à suivre sur le sol le circuit 24 sur disques vinyle dont une petite auto arrache des sons plaintifs.
En furetant vous pouvez encore trouver, jusqu’au 23 mars 2009, le stand de la Galerie Ritsch-Fisch avec un émouvant cocon humanoïde à l’escarpin brillant de Judith Scott, celui des Yeux fertiles au Barbu Müller biface, narines larges, lèvres épaisses, cheveux nattés, un peu «art nègre» quoi! Comme j’étais sans mon sac pour économiser le contrôle, j’ai pas d’images.
Donc passons à autres chose et revenons à la Sicile. Car c’est de Sicile, de Caltagirone exactement, que nous vient ce nouveau lieu dont je vous causais au début de ce post. Dans cette ville du centre, fameuse pour les céramiques que vous pourrez y acheter, il y a un MACC (Museo d’Arte Contemporanea) et ce MACC vient d’ouvrir une section consacrée à l’art brut.
Si l’intérêt pour l’art brut s’est exprimé assez tard en Italie, comme le souligne Domenico Amoroso, le directeur du musée de Caltagirone, on peut dire qu’elle se rattrape bien. Je vous raconte pas tout ce qu’il y a dans le texte figurant dans le dépliant où j’emprunte ces images. C’est dans un italien trop trapu pour mes faibles connaissances mais je note que le signor Amoroso centre son propos sur deux Francesco (Cusumano et Giombarresi) dont je vous avais déjà signalé les œuvres le 22 juillet 2008 dans ma note Irregolari.
Francesco Giombarresi
Francesco Cusumano
Domenico Amoroso participait au colloque international qui s’est tenu à Castellammare del Golfo le 31 janvier 2009 à propos de Giovanni Bosco qui est un super-chouchou de votre petite âme errante depuis toujours.
Tous ceux qui partagent mon enthousiasme pour les fortes images de ce créateur brut comme on n’en fait plus, seront contents d’apprendre que, pour la première fois en France, on va bientôt pouvoir admirer des œuvres à lui. EN VRAI. C’est dans une librairie parisienne que cet événement aura lieu le mardi 31 mars 2009 en début de soirée puis pendant tout le mois d’avril.
La Librairie Privat/L’Art de voir, qui sort un catalogue sur les dessins d’écrivains, la Figuration libre et l’art brut, expose parallèlement des dessins de Giovanni Bosco issus de carnets prêtés pour l’occasion par le collectionneur-découvreur.
C’est au 162, bd Haussmann, très loin des grands magasins mais près du musée Jacquemart-André qui montre en ce moment des Primitifs italiens, que cette librairie spécialisée dans les beaux livres du passé (récent ou moins récent) se trouve.
Animula est partenaire de cette initiative.
16:38 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : art brut, giovanni bosco, francesco giombarresi, francesco cusumano | | Imprimer | | |
19.03.2009
Arte irregolare : la Tinaia à Paris
Bon, alors, ça commence comme un prénom de fille : Tina. Moi, ça me fait penser forcément à «la donna dalla voce rauca» (la femme à la voix rauque), la chérie du poète Cesare Pavese qui tant le fit souffrir. De cette abréviation si joliment italienne (Tina, c’est en fait Battistina) à Tinaia, il n’y a qu’un pas (ou un pia) et moi j’adore les franchir, les pas, n’est-ce-pas ? Va donc pour Tinaia, Ti-ti, na-na et ia-ia. Tinaia vous dis-je. Allez vous vous le mettre dans le cigare ? Oui, je sens que ça vient. Si vous avez peur d’oublier, au lieu de faire un nœud à votre kleenex propulsez vous demain vendredi 20 mars 2009 au vernissage de Christian Berst. Cet entreprenant galeriste frôle le stakhanovisme.
A peine Lena (Marilena Pelosi, pour être exact) décrochée, voilà-t-il pas qu’il embraye déjà sur une expo Tinaia dans son Objet trouvé de galerie. Jusqu’au 18 avril et pas après, on rigole pas avec le timing rue de Charenton.
Marco Raugei
Pour les caves qui ne sauraient pas, la Tinaia c’est de «l’arte irregolare» et ça veut dire «cellier» en italien (ou cave), enfin quoi, bref, un endroit où les pommes mûrissent, où le chianti se bonifie. La Tinaia vous dis-je, ôtez vos oreillettes!
Giuseppina Pastore
Les «Irregolari» ça fait déjà une paie que je vous bassine avec. Yaka faire du rétropédalage sur ma chronique du 22 juillet 2008 : Irregolari, 8 créateurs d’art brut siciliens. L’arte irregolare c’est grosso modo l’art brut (mâtiné singulier) et la Tinaia c’est kif-kif Gugging. Vous me suivez ? Vous avez de la chance parce que j’y vais plutôt à la louche mais je suis pressée, les copines m’attendent. Aujourd’hui c’est la soirée «entre filles».
Giovanni Galli
En deux mots : la Tinaia, c’est un espace communautaire florentin créé dans la foulée de ce qu’on a appelé dans les années Ronald Laing, l’antipsychiatrie. Un centre d’expression dont la création est le moteur plutôt qu’un atelier d’art-thérapie parmi d’autres. O.K.?
Pour le reste, branchez vous direct sur le site du galeriste, il vous expliquera tout ça très bien lui-même. Moi, j’éteins la lumière, je me jette dans la cabine et je me remets du rouge sur les dents (saleté d’ascenseur). Salut les Tina et bonsoir à tous.
23:55 Publié dans Expos | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : art brut, la tinaia, giovanni galli, giuseppina pastore, marco raugei | | Imprimer | | |
16.03.2009
Des lectures pour tous
D’une marmotte à Pierre Jain, il n’y a qu’un pas. Permettez que votre petite âme errante le franchisse. La marmotte c’est celle de la boutique autrichienne de la rue Gay Lussac. Une marmotte aux ailes déployées qui m’a rappelé les hybrides du château d’Oiron dans les 2 Sèvres dont je vous entretintint le 10 mai 2007 dans mon post Curios & Mirabilia, mes doux animulous.
Or donc, battant le pavé parisien samedi dernier de mes bottines à bouts vernis, je laissais derrière moi le si superflu beffroi de l’Institut océanographique pour m’égayer en direction de la Galerie Pierre-Michel où j’escomptais voir les lavis entremêlés de Simone Picciotto. Hélas, 3 fois hélas, c’était tout décroché ou pas encore accroché puisque l’expo dure jusqu’au 4 avril et j’ai pas pu me faire une idée.
De rage, je suis allée me jeter dans une des nombreuses librairies à l’ancienne qui résistent à la mondialisation dans ce quartier un peu province d’allure. Et là, sur une pile de vieux gri-grimoires, il était là qui m’attendait, le chéri. En me voyant, il a crié : «maman!» et pour même pas 5 thunes je l’ai emporté avec un sourire de hyène qui vient de dénicher sa proie. Quoi qu’est-ce ? Mais le numéro de décembre 1900 de Lectures pour tous. Du moins le présume-je car la couverture a été carrément scalpée par un précédent propriétaire.
Bon, si je l’ai pris c’est pour l’article Sur la planète Mars qui parle surtout du médium Hélène Smith mais qui contient aussi une repro de la Maison du prophète Elie par Victorien Sardou : un genre d’Institut océano-machin jupitérien.
En le feuilletant dans l’autobus 84, j’ai eu la bonne surprise de découvrir dans un autre papier sur Les Petits Métiers à l’Exposition (la grande, l’universelle) une très intéressante photo d’un sabotier «sculpteur sur bois» des environs d’Alais (Alès). Super intéressante même puisqu’elle semble avoir été prise exprès pour nous montrer la porosité de la frontière entre art populaire et art brut.
Pour celles et ceux qui en douteraient encore, je conseillerais une visite au catalogue de la vente de l’étude Ferri du 18 mars 2009 où, avec le concours avisé de Madame Martine Houze, seront dispersés Important Art populaire et Curiosité. Satisfaction garantie : c’est fastoche à feuilleter en ligne.
A côté d’un sacré tas de merveilles genre boîtes à missel, casses-noisettes anthropomorphes, sellettes de dentellière, quenouille en bois fruitier, secouettes à tabac, moines érotiques, vous pouvez pas manquer le n° 267 : une tête attribuée à Pierre Jain, le Breton d’art brut de Kerlaz révélé en 1977 par Pierre et Renée Maunoury dans le fascicule 10 de L’Art brut (celui où il ya Albino Braz, Jules Doudin, Louise Fisher, excusez du peu).
23:55 Publié dans Images, Lectures, Vagabondages | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : art brut, art populaire, pierre jain | | Imprimer | | |
14.03.2009
L’église parlante vue de l’intérieur
Et bien, grâce à Pascale Herman dont le blogue hommager aux habitants-paysagistes (Les Inspirés du bord des routes) joue les Arlésiennes en ce moment, j’ai pu prendre ma revanche et entrer chez l’abbé Paysant par la porte du beau reportage que le n°12 du magazine Itinéraires de Normandie a consacré en décembre 2008 à cette œuvre fraîchement restaurée. L’article est de Yves Buffetaut, le rédac chef. Les photos aussi peut-être? J’ai pas vu de crédit. Je vous en montre 3 seulement, rien que pour vous donner envie de vous procurer le canard qui est trimestriel.
Et pour finir, rien que pour le fun, une image en bonus de Mâme Péhache probablement prise à la Maison bleue de Da Costa située à Dives-sur-mer. Des fois qu’avec le soleil naissant vous ressentiez l’impérieuse nécessité d’un p’tit week-end en Normandie avec votre amoureux et/ou amoureuse…
23:33 Publié dans Gazettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : victor paysant | | Imprimer | | |
08.03.2009
Itinéraire expogéographique
Avec tout ce qu’il y a à voir à Paris dans le genre «apparenté à l’art brut», votre petite âme errante a dû se faire un programme pour être sûre de rien oublier.
A la réflexion, elle a pensé que ça pouvait vous servir aussi.
Alors imprimez vite cet itinéraire et collez-le sur la porte de votre réfrigérateur comme ça vous y penserez quand vous irez rapiner un de ces délicieux petits pots au chocolat belge à 53 % de cacao qui calment si bien vos mini angoisses nocturnes.
Et puis surtout, attention au timing. Le plus urgent c’est Marilena Pelosi à la Galerie Objet trouvé (24, rue de Charenton, 12e) : ça se termine le 14 mars 2009, à moins que Christian Berst ne nous offre un p’tit chouïa de rab.
Ensuite, par ordre d’urgence, il y a les Ex-voto contemporains du Mexique (Alfredo Vichis Roque), Galerie Frédéric Moisan 72, rue Mazarine, métro Odéon. C’est juqu’au 29 mars 2009.
Béatrice Soulié, qui bosse fort et depuis longtemps sur le terrain des singuliers de qualité, nous laisse juqu’au 4 avril 2009 pour visiter les Univers intérieurs de Joël Lorand en sa Galerie située au 21 dans l’étroite et art-africanophile rue Guénégaud dans le 6e arrondissement.
Last but not the least, la Galerie impaire, 47 rue de Lancry, nous donne à voir les œuvres d’un ténor brut du Creative Growth Art Center : Donald Mitchell (à noter les tout nouveaux totems) et les œuvres d’un Monsieur David West dont j’ignore à peu près tout. Dead line : le 5 avril 2009.
C’est le très cool Julien Raffinot qui est le D.J. de ce gentil espace du 10e arrondissement et je lui fais coucou parce que j’aimerais vraiment qu’il se souvienne de mon nom : A.N.I.M.U.L.A V.A.G.U.L.A, «sans rivale», comme dirait Séraphine.
Pour terminer faut pas que j’oublie de vous pointer que vous seriez rien bigornauds de pas vous procurer le catalogue Manœuvres de désenvoûtement (Breaking the hex) qui accompagne l’expo Marilena Pelosi et qui vivra sa vie ensuite comme font les crus honnêtes. Et même, puisque vous êtes comme moi, amoureux des beaux bouquins sur nos petits dadas, je vous conseille de vous offrir la version collector puisqu’il y en a une cinquantaine avec en bonus un vrai dessin (pas une repro) de Marilena Pelosi. Pour la valeur de même pas 3 catalogues ordinaires, vous aurez une œuvre originale sans mettre votre banquier sur la paille.
00:06 Publié dans Expos, Vagabondages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art brut, marilena pelosi, donald mitchell, joël lorand, alfredo vilchis roque | | Imprimer | | |
06.03.2009
L’art brut à toutes les sauces
Notre secrétariat animulien a reçu cette vidéo judicieusement repérée par un de mes correspondants très fine mouche.
Que dire après ça sinon « NO COMMENT »
00:07 Publié dans Ecrans, Zizique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : art brut, adolf wölfli, scottie wilson, henry darger | | Imprimer | | |
04.03.2009
Séraphine à La Loupe
00:09 Publié dans De vous zamoi, Lectures, VU SUR ANIMULA | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : séraphine louis | | Imprimer | | |