06.02.2015
Nouvel arrivage de «Jeune Création Contemporaine»
En passant par l’hôtel Drouot, j’ai picoré dans la salle 9 le nouvel arrivage de la «Jeune Création contemporaine».
Voici donc ma petite sélection.
N° 154. Eliane Larus. Enfant au lézard
N° 161. Michel Macréau. Le coeur rouge
N° 143. Anselme Boix-Vives. Série des concierges
N° 186. André Robillard. Sur le sol lunaire.
N° 257. Mariam Koopen. s.t.
Attention, la vente c’est demain samedi 7 février à 14h.
16:16 Publié dans De vous zamoi, Encans | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eliane larus, michel macréau, anselme boix-vives, andré robillard, mariam koopen | | Imprimer | | |
29.01.2015
Pierre Della Giustina «dans la mouvance des arts bruts»
Animula en Auvergne Aujourd’hui.
Une adolescence aux Martres-de-Veyres. Un ascenseur pour les Arts-Déco. Retour vers son berceau de peinture et de sculpture. Le parcours de Pierre Della Giustina est bien plus riche que ça. Depuis 7 ans au moins que je vous le dis, vous avez pu vous en rendre compte.
Della Giustina appartient à une catégorie rare. Celle de ces artistes qui travaillent «dans la mouvance des arts bruts» et ont le tempérament de s’en écarter pour inventer leur propre voie.
Quitte à brouiller momentanément leur image. Sans égard pour les pantoufles où leur public aurait tendance à les cantonner.
Jamais prisonniers d’un style parce que toujours en confrontation avec la matière. Conquérant leur œuvre de haute lutte.
Toutes choses que Della, talentueux peintre-sculpteur et graveur, vous dira mieux lui-même dans La Montagne, le journal de Vialatte, qui a eu la bonne idée de venir à lui.
Au moment où j’écris, l’article de Caroline Eon-Groslier sur PDG a été lu 368 fois.
12:30 Publié dans De vous zamoi, Gazettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre della giustina | | Imprimer | | |
28.01.2015
A-A-A
14:55 Publié dans Ailleurs, De vous zamoi, Glanures | Lien permanent | Commentaires (1) | | Imprimer | | |
15.12.2014
Pour Noël, un défilé d'art brut
Peintes avec les pieds ou avec la bouche, je déteste recevoir des cartes de vœux à l’avance.
A cette époque de l’année, je pense qu’à Petit Papa Noël. Pas le chien des Simpson. Le vrai. Celui qui dépose dans la cheminée où vous n’avez plus le droit de faire du feu des K-DO venus du ciel. Tombés des paniers des officines virtuelles ou des rayons des vraies libraires qui peuvent encore payer un loyer dans le centre ville.
Sans pitié du dos du Père No, mon chéri et mon daddy m’ont commandé des kilos de coffee table books pour avoir l’air intelligents et actualiser leurs connaissances sur l’art brut à un moment où le premier blaireau venu n’a plus que ce mot à la bouche.
Le plus lourd mais le plus souple est un bel objet de couture japonisante, dans une couverture façon smoking déstructuré sous cape-étui au palladium avec titre gaufré (Art Brut, Collection abcd/Bruno Decharme).
Programme de la soirée cousu de fil rouge au dos. La doublure à fond noir et impressions sismographiques énumère les noms des stylistes ayant contribué à la confection.
Prix : 49,90. Lavage en machine non recommandé.
Le plus léger, dans une veste sable mandalesque avec discret logo de la marque et pantalon cerise à petit revers, est le complément parfait du premier car il traite du même sujet : l’actuelle exposition à la maison rouge.
La version pour la ville en quelque sorte puisque le précédent, qui actualise un modèle de 2000 ayant largement fait ses preuves, ne saurait être consulté dans le métro du fait de son ampleur.
Bruno Decharme, son inspirateur, qui affiche volontiers une formation philosophico-cinématographique des temps structuralistes, a en effet la religion de la pluridisciplinarité. Et le souci de l’exhaustivité poussé un peu loin. Était-il nécessaire, par exemple, de nous gratifier d’une ènième contribution sur l’art des fous avant l’art brut, je me le demande.
Surtout avec l’adjectif brut entre guillements comme si il fallait prendre cette notion avec des pincettes.
Moins enveloppant mais plus pratique, l’ensemble sable-cerise Antoine de Galbert a toutes les qualités qui ont fait la réputation des catalogues maison rouge. Bilinguisme, présentation claire des thèmes de l’expo notamment. Ceci pour 24 €.
Les deux books puisent à une iconographie commune, version luxe pour l’un, plus prêt-à-porter pour l’autre. Chacun contient des entretiens avec le collectionneur où celui-ci chouchoute son image. Il serait passionnant de les comparer avec des déclarations antérieures.
Là je n’ai pas le temps car je m’en voudrais de ne pas signaler, dans des prix intermédiaires (35€), le multifilaire catalogue de l’exposition L’Autre de l’art au LaM de Villeneuve d’Ascq.
Ce concept nordique rappelle bien sûr Un art autre, le légendaire ouvrage de Michel Tapié qui date de 1952 et qui traitait de «nouveaux dévidages du réel». Le sous-titre du catalogue du LaM, sous une couverture classe grise et rose genre tailleur Chanel, est plus ambitieux : Art involontaire, art intentionnel en Europe, 1850-1974.
On dirait que le LaM plante son drapeau partout : sur le temps, sur l’espace, sur un corpus des plus large donc des plus vague. Le résultat est aguichant. C’est un vrai feu d’artifice qui part dans tous les sens. Les productions asilaires, l’art naïf, les graffiti, Dada, les dessins d’enfants, l’espace acoustique, Mary Barnes, la poésie naturelle, le graphzine, que sais-je encore? Avec ça, on est paré pour l’hiver.
Chacun dans cet ensemble tout terrain choisira sa partie amovible. Pas d’erreur, ça plaira à tout le monde! Même à moi qui me suis drapée illico dans La grande muraille d’Adrien Martias (styliste : Béatrice Steiner) et dans l’Hôpital brut par Corinne Barbant.
00:15 Publié dans art brut, De vous zamoi, Ecrits, Expos, Lectures, VU SUR ANIMULA | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : art brut, abcd, maison rouge, bruno decharme, antoine de galbert, lam, béatrice steiner, corinne barbant | | Imprimer | | |
24.11.2014
abcd : adn de l’art brut
Si je pouvais je mettrais Paris en bouteille et la maison rouge dans la poche de mon sac à dos. Pourquoi? Parce que la Collection Decharme qui y est exposée se déplie de l’entrée à la sortie comme un éventail japonais et que je me dis qu’elle pourrait se replier aussi. Ce serait pratique. Chaque fois que j’en aurais envie, je l’ouvrirais pour moi toute seule au lieu de la partager avec quantité de gens.
Mais je suis pas accapareuse. Je vous invite donc à la visiter sans craindre les heures d’affluence. Après un long couloir qui nous désintoxique des sirops artificiels du monde extérieur, on progresse d’enchantements en sortilèges, sous l’empire de sentiments forts, d’impressions rétiniennes durables et d’idées qui se mettent à vous pétiller sous la chevelure.
Au gré des méandres engendrés par les alvéoles inégales et biscornues qui s’offrent successivement à nous, dans un désordre contrôlé qui communique son rythme syncopé à l’expo. Sur le plan ça ressemble à une clé à molette en kit.
En vrai ça imite le fonctionnement chaotique de la pensée vivante. D’aucuns s’en inquiètent. «T’as fait des dessins?» questionne une mère, soucieuse de retenir sa fille qui court comme une balle de flipper. Liberté de photographier. Certains croient capturer l’inneffable dont ils sentent ici la présence.
Pour scander le parcours des visiteurs moins électriques, les organisateurs de cette exposition entièrement dévolue à l’art brut l’ont segmentée en 12 parties plus ou moins évidentes. L’une d’elle aurait gagné à être désignée par un terme moins lourdement philosophique que : Hétérotopies scientifiques. Une autre a des faux airs d’une chanson de Bashung : Vertiges de la chair.
Mais dans l’ensemble c’est cohérent quoiqu’un peu arbitraire. En voici le déroulé, emprunté au sommaire du book abécédien sorti pour l'expo:
Pourquoi 12 stations comme autant d’apôtres? On peut se le demander. On dirait qu’un refoulé biblique fait retour. Le voyage au pays de l’art brut decharmovien situe d’ailleurs très classiquement le chaos «à l’origine» alors que c’est plutôt tout au long du processus des œuvres qu’il se situe.
Un chaos délibérément organisé dans sa répétition même. Comme tel, ni commencement ni fin. Décalage structurel permanent. Ceux qui n’aiment pas qu’on les guide pourront tout aussi bien partir de ce cœur rouge palpitant : la petite pièce où le livre de Dellschau est présenté.
Et rayonner autour. Ou bien s’inventer des circuits personnels comme ces visiteurs qui pistent les pièces dispersées d’un créateur. Car cette exposition permet tout.
Son grand mérite c’est de n’avoir pas cédé à la facilité de nous promener dans une succession de salles dont chacune aurait été réservé à un créateur. La présence des nombreux anonymes et des pièces orphelines ne le permettant d’ailleurs pas.
L’exposition de la Collec Bruno Decharme à la maison rouge s’attaque de ce point de vue à une tâche impossible : une confrontation d’ensemble sur le mode thématique.
Elle n’en sort pas toujours gagnante. Exemple : les photos de Tichy paraissent soudain pâlotes dans le voisinage des Aloïse. Mais elle témoigne avec brio de la féconde hétérogénéité de l’art brut (autant d’art brut que de créateurs!).
Elle révèle paradoxalement, en s’en accommodant, la capacité de résistance à l’exhibition collective qui fait partie de l’ADN de l’art brut.
Bonus. Pas de panique pour la deadline. L'expo abcd à la mr se termine le 18 janvier 2015.
En revanche ça urgeotte pour la carte blanche qui lui fait écho chez Christian Berst : 29 novembre 2014.
17:24 Publié dans art brut, De vous zamoi, Expos | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : art brut, collection abcd, bruno decharme, maison rouge, antoine de galbert, galerie christian berst | | Imprimer | | |
20.11.2014
maison rouge : suivez le guide
Pas plus grand qu’un smartphone, le livret qu’on distribue à l’entrée de l’exposition des deux chevaliers de la maison rouge! Il mériterait pourtant d’être oscarisé. Antoine de Galbert, la puissance invitante, Bruno Decharme, le collectionneur on the air et le staff de la programmation culturelle ont soutenu là une gageure : faire une présentation de la collection abcd (et des notions complexes qui tournent autour) qui ne soit ni bête ni prétentieuse. La clarté est chose trop rare pour qu’on ne la salue pas au passage.
Le petit journal de cette expo d’art brut, qui est un must en la matière, s’adresse aussi bien à ceux qui ne connaissent rien au sujet qu’aux afficions chevronnés. Les premiers n’y sont pas pris pour des billes.
Les seconds y trouveront un billet pour un voyage au pays de leurs connaissances.
Personnellement, j’ai apprécié que ce «livret de visite» constitué d’un plan et d’un glossaire aborde la question de l’éthique. Souligner que «l’exposition et la circulation des œuvres» doivent se faire «dans le respect de leurs auteurs» et dans l’assurance «qu’ils profitent, d’une manière ou d’une autre, des bénéfices générés par le commerce de leurs œuvres» est indispensable par principe et juste dans les termes.
Ceci posé ça peut pas faire de mal de chercher la petite bête dans le langage documenté et précis employé par les rédacteurs des notices du glossaire.
Comme tonton Niezstche le dit dans Humain trop humain : «les convictions sont des ennemis de la vérité plus dangereux que les mensonges».
C’est donc du côté des certitudes qu’il faut chercher dans le petit journal de l’exposition art brut de la maison rouge les endroits où ça coince. La notice art contemporain / art brut démarre ainsi par une pétition de principe : «Les temps sont au décloisonnement (…)». Une fois que vous avez reçu cet uppercut dans le plexus scolaire, votre petite cervelle de piaf vacille dans ses Converse.
Vous voilà mûrs pour l’enchaînement suivant : l’art brut s’était constitué «à travers une opposition à un art dit culturel (sic)» mais «actuellement» (sous entendu : c’est fini) «de nombreuses expositions tendent à le confronter à des réalisations intégrées au monde de l’art contemporain» (tout court)».
Et patapoum, admirez le travail! Si vous n’y prenez garde, cette voltige démonstrative vous envoie au tapis, prêts à admettre que l’art brut c’est kif kif le soi-disant art soi-disant contemporain (en fait vieux comme mes robes duchampomyennes).
La méthode pour parer c’est d’abord de prendre conscience que l’argument des «temps» (autant dire la dictature de la mode ou du marché) ne vaut pas un clou. L’Histoire est pleine de ces moments où une époque se crut à tort au bord de quelque chose qui s’ouvrait devant elle (que ce soit le communisme, le royaume de Dieu ou l’abstraction lyrique).
La méthode c’est ensuite de reconnaître que ce qu’on nous présente comme du décloisonnement n’est en fait que du confinement au sein d’une catégorie unique (l’art contemporain) où le ferment corrosif de l’art brut serait enfin édulcoré par ses célébrateurs mêmes.
23:50 Publié dans art brut, De vous zamoi, Ecrits, Expos, Gazettes, Ogni pensiero vola | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : art brut, maison rouge, antoine de galbert, abcd, bruno decharme | | Imprimer | | |
18.11.2014
Difficulté des locutions
Dans la désopilante série animulionne de Nos amies les bêtes, la palme de l’art brut revient aujourd’hui au Figaroscope pour ce hardi constat du «Grand reporter, Arts» Valérie Duponchelle dans son article du 12 novembre 2014 sur l’actuelle exposition de la maison rouge :
«Bruno Decharme a trouvé son alma mater (sic) en Antoine de Galbert (…)».
L’alter égotisme n’est plus qu’un souvenir!
12:37 Publié dans art brut, Blogosphère, De vous zamoi, Gazettes, Nos amies les bêtes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art brut, maison rouge, bruno decharme, antoine de galbert, valérie duponchelle, stendhal | | Imprimer | | |
11.11.2014
Le Prix Renaudot pour Charlotte Salomon
Le Renaudot c’est pas mon lot. Les Prix littéraires d’ordinaire ça m’fait braire. Mais là quand même comment ne pas joindre mes youyous animuliens au concert de louanges qui salue le livre de David Foenkinos?
Et tant pis si sa forme poètique en défrise certains. Et tant pis si la vogue du roman biographique le porte.
L’important, de mon point de vue, c’est qu’il rende à Charlotte Salomon un peu de l’existence qui lui a été crapuleusement volée.
20:48 Publié dans De vous zamoi, Ecrits, In memoriam, Lectures, VU SUR ANIMULA | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : charlotte salomon, david foenkinos, prix renaudot 2014 | | Imprimer | | |
01.11.2014
Ni class, ni con, seulement BRUT
Aujourd’hui ouverture. Ouverture de la chasse aux ÉDL (éléments de langage). Dans mon collimateur un distinguo qui pullule. Je veux parler de l’opposition entre œuvres classiques et contemporaines. Opposition factice qu’on nous lâche dans les bottines chaque fois que l’on se promène dans la forêt de l’art brut.
Peu importe si cette distinction rabâchée n’enfonce rien d’autre que la porte ouverte d’une évidence chronologique. Qu’il y ait eu des créateurs d’art brut dans le passé et qu’il y en ait aujourd’hui n’est pas, après tout, une nouvelle bouleversante. L’important n’est nullement que le distinguo soit pertinent pour ceux qui en organisent le lâcher. L’important est qu’il soit répété à tout bout de micros.
Car c’est ainsi que fonctionne la vilaine bête à deux dos de l’art brut classique slash art brut contemporain. Comme un vulgaire élément de langage qui vise à squatter notre quantité de neurones disponibles. Si tant est qu’il en reste après le passage du «Plug anal» sur la place Vendôme.
Un ÉDL, je vous dis. Rien qu’un ÉDL des familles, cette dichotomie class-con. Comme tous les ÉDL qui se respectent, celui-ci veut nous faire faire le boulot à sa place en nous transformant en perroquets.
Il se soucie comme d’une guigne de notre libre arbitre, inutile valeur d’usage selon lui. Sur le pauvre marché de nos idées, il ne se préoccupe que de la valeur d’échange. Tout ce qui l’intéresse c’est de tourner en rond. Pour quel profit philosophique? C’est la question.
Opposer l’une à l’autre deux facettes diachroniques de l’art brut c’est enfoncer un coin dans la chair de son concept. Tenter de le casser et de l’abattre. Revenir imaginairement à la confusion à laquelle il mit fin, dans l’espoir de faire prendre la sauvagine pour du poulet au ketchup-to-date plus commercial parce que moins rare.
Possible que les joyeux braconniers qui s’emploient à formater ainsi notre pensée en détachant, d’un art brut soit-disant historique, un art brut soluble dans la pire misère de l’art dit-contemporain, n’aient pas conscience de ce qu’ils font.
Sans doute ne cherchent-ils, en fin de compte, qu’à passer de la pommade sur la blessure narcissique que la coupure épistémologique de Dubuffet leur a infligé pour jamais.
Mais s’il est vrai que les mots ont un sens, ils ont aussi des connotations qu’ils traînent derrière eux comme des casseroles. Classiques vous évoque ainsi un tas de vieilles barbes XVIIe dignes de la pédagogie Larousse de papa.
Contemporains vous a un p’tit parfum néo-dadaïste, post-punkesque et conceptualo-minimal très tendance.
Apparemment y’aurait pas photo. Le piège est un peu gros! Nous ne sommes pas obligés d’y tomber en nous comportant comme du gibier. Alors au diable l’appât de l’opposition entre œuvres d’art brut classiques et contemporaines! Dédaignons le. Ce n’est qu’une facilité du prêt-à-penser de notre époque décerveleuse où tout se règle par des rapports marchands.
L’art brut est un fait. Un fait sans origine ni fin.
L’art brut est comme un hobo qui prend le train en marche sans savoir d’où celui-ci vient ni où il va.
17:30 Publié dans art brut, De vous zamoi, Gazettes, Ogni pensiero vola | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : art brut, éléments de langage, plug anal | | Imprimer | | |
25.10.2014
Text-o-af
RDV 2main 26-10 o A.
Last day.
Curseur + outsider que brut de brut 7 année.
Vernissage trop trop.
Perdu Jeanne, Violette et autres meufs dans escaliers bondés.
Retrouvées ds sdb, room 204 (Polad) face aux Elisabeth Garouste
Orteils brisés menu pour entrer chez Cavin-Mo (403). Bonus : Carlo gris. Oiseaux à tomber.
Peoples croisés à tous les étages : Toine de G., Ceres parlant d’1 poète disparu (Jean Laude), Clovis d’1 ermite… 2 mots de Valérie Rousseau sur imperméables de «son» musée.
Claqué la bise à Tom et Gaëla, room 503. Dessin de John Mullins au chevet du Creative Gro.
Au 505 le lit blanc du commissaire fait regretter le paddock-patchwork de Chomo.
Si mutants ennuyeux le dimanche, séance de catch garantie au Marché (305) avec Lewis Smith. Au projecteur : Jean-David.
Tagami chez Atsuko de Tokyo en 205 : les têtes de papier mâché!
Room 302, souvenir de 2013 : «La vérité c’est que tout le monde l’aime [l’art brut]. C’est un art si généreux, un art qui ne se compte pas!» (Andrew Edlin cité dans Télérama 3328).
Un peu + bas au 202, Hassan des trottoirs de Barcelone arrive pourtant, dans une galerie de Frankfurt, à un joli prix. Pourvu ksa améliore son ordinaire!
Tout en haut : livres et artistes de la Halle St-P avec directrice o manettes.
Tout en bas un Corentin. Expo de son skyline bientôt (6 nov.) chez Béatrice Soulié ici en visite.
Pas pu tout voir. Voum raconterez.
19:57 Publié dans art brut, De vous zamoi, Expos, Glanures | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : oaf 2014, galerie polad-hardouin, elisabeth garouste, carlo, cavin morris, john mullins, tom di maria, creative growth art center, chomo, galerie du marché, lewis smith, galerie atsuko barouh, tagami masakatsu, galerie béatrice soulié, sylvain corentin | | Imprimer | | |