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14.12.2006

Quizz de Noël

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Pour détendre un peu l’atmosphère alourdie par les controverses gallimardeuses,

un petit jeu.


L’image ci-dessus vous évoque-t-elle ?
 
 
1. le brouillon d’un cancre de l’école primaire
 
 
2. le carnet de téléphone d’une employée de bureau myope
 
 
3. un manuscrit d’Antonin Artaud
 
 
4. la feuille d’exercice d’un malheureux gaucher contrarié
 
 
5. une lettre adressée par le pensionnaire d’une clinique psychiatrique à son médecin


 
«A la semaine prochaîîîne» (comme on dit dans les Shadocks) pour la réponse.
 
 

 

00:10 Publié dans De vous zamoi, Jeux et ris | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : Antonin Artaud | |  Imprimer | | Pin it! |

09.12.2006

Les livres uniques de Charles Dellschau

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Après les sommets intellos pur jus où je suis montée ces temps-ci, je voulais me reposer les neurones et échanger des recettes de potages avec les copines. medium_potage_liebig_buvard.jpgRaison pour laquelle je n’ai pas été violente sur l’updatage ces jours derniers. Comme je me suis levée très tard aujourd’hui, je me proposais de coincer la bulle encore mais c’était compter sans l’implacable monsieur Decharme, auteur de films-portraits sur Lobanov, Merritt, Darger, Greaves, Kosec et, et, et … collectionneur grave d’œuvres d’art brut (tout le monde connaît).
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Que faire quand un afficion de cette nature sature votre petite messagerie en agitant la (ni) muleta de captivantes images en couleurs (qui pèsent des tonnes) du livre-unique d’un certain Charles Dellschau? Lui passer le micro, tout simplement et continuer à chouchouter ma flemme.

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05.12.2006

Art brut, art culturel : des relations contre-nature ?

Ce que ça vole haut, ces temps-ci, je vous dis pas ! Un récent et sagace commentaire de S.H. à propos de mon post du 6 brumaire 2006 : Jules (Leclercq) et Diego (Velasquez) s’interroge sur la nécessité de peser l’un et l’autre sur la même balance. Faudrait pas la pousser beaucoup pour que votre petite âme errante trouve comme lui «saugrenue» cette insistance du dossier d'aide de l’expo de Lille à trouver des origines velasquézoises à la tapisserie de l’homme du commun d’Armentières.

Pour tordues qu’elles soient, les relations entre l’art brut et l’art culturel n’existeraient-elles cependant pas ?

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On peut en douter depuis que Wölfli a fait une pub à la soupe Campbell, depuis qu’Aloïse a fourré des papiers de chocolat et collé des images de Vierge à l'enfant dans ses œuvres. 

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Il est certes plus confortable de nier ces relations contre-nature en se crispant sur une position dubuffetienne pure et dure que de chercher à les élucider. Mais c’est fermer les yeux sur les gueules pleines de crocs d’Auguste Forestier où il est difficile de ne pas entendre l’écho de la Bête du Gévaudan qui continuait à gronder du côté de l’asile de Saint-Alban.medium_figure_de_la_bete.4.jpg

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De telles rencontres du 3e type existent bien. La théorie du fossé infranchissable entre art brut et art cul est bien gentille mais elle est un peu ravageuse dans le genre manichéenne.

Il reste à penser la distance qui existe entre l’autoportrait de Dürer et le dessin de Curzio di Giovanni (voir ma note du 21 novembre : Visitez l’atelier d’Adriano e Michele), il reste à élucider les processus de transformation qui métamorphosent l’un en l’autre et c’est ça qu’est passionnant, mes p’tits Animuliens, pas de savoir si l’art brut est né en Suisse ou en Lozère.

Ceci dit, quitus à Mr S.H. : cela devient en effet furieusement tendance de comparer les images brutes et les images cultu au petit bonheur la chance.

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J’ai peur que l’exposition 20 œuvres dans 20 musées (1er déc. 2006-30 janv. 2007) de nos amis d’Art en marge ne cède un tantinet à cette mode.

28.11.2006

Plus sur Simone Le Carré Galimard

Puisque vous me harcelez, chères petites dames râlantes (c’est à Jeanne, c’est à Estel que je parle) je sens bien qu’il faut vous répondre et vous apporter satisfaction au sujet de Simone Le Carré Galimard parce que vous me lâcherez pas la grappe avant avec vos souriants mais revendicatifs commentaires. Voici donc quelques images volées chez un collectionneur galimardophile.

Un masque 
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un pantin

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une pantine
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les deux derniers nous représentant moi et mon chéri (car le collectionneur c’est lui).

Quant au «reliquaire» aux bras et jambes de celluloïd écartelés, je crois me souvenir que SLG ne piquait pas sa crise lorsqu’on employait ce mot devant elle. Elle semblait, à dire vrai, lui préférer tout simplement le terme de «boîte», du moins c’est ce qui m’est apparu lorsque j’ai dîné chez elle un jour, Maurice son cher époux ayant dégainé sa spécialité-maison, le taboulé aux saucisses de Francfort (assez brut), et moi ma tarte aux fraises.

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«Reliquaire» n’était là que par convention d’usage, par référence involontaire à des objets surréalistes mais après tout, Simone avait bien dans ses cartons une illustration de Maldoror…

Il faut vous avouer que je ne contrôle pas tout ce que j’écris, je suis même plutôt écervelée. Quand j’ai besoin d’un mot, je ne le tourne pas 107 ans dans ma bouche avant de le cracher sur l’écran. Je puise dans ma réserve, je le sors du sac et va petit mousse! Pourvu qu’il convienne à peu près, je le prends. Si je me mettais à tous les examiner, les brosser, les chouchouter ce n’est pas 190 notes que je vous aurais pondues depuis le début de mon blogounet mais 0,9.

Pareil pour M Montpied pour qui mes bretelles sont visiblement faites pour être remontées. Quand je qualifie de «luxueuse» la revue de Claude Roffat L’Oeuf sauvage, c’est à cause de la qualité du travail de l’imprimeur et par opposition avec le tas de fanzines ozendistes, défricheux et gabuzogéniques qui paraissaient alors, en ces temps préhistoriques.

23:55 Publié dans De vous zamoi, Images, In memoriam | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : simone le carré galimard, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

12.11.2006

« Congé aux fesses et aux seins »

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Aux amateurs de «chair crème» (voir commentaire du 10 novembre à la note sur Jules et Diego, votre Animula, dans sa grandeur d’âme, a choisi d’offrir quelques kilos de pâte d’amandes empruntés à :

William Bouguereau,
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Alexandre Cabanel
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Jules Lefebvre
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et à une sculpture romaine
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Si par hasard ça leur suffisait pas, les «callipygistes» (permettez qu’ainsi je les désigne) pourraient faire un tour dans la galerie de peinture virtuelle de Marc Vérat où ils pourront se goinfrer de derrières et de… devants savamment docu (sans jeu de mots) mentés.

Aux autres, cette bonne Ani, toujours aussi vaguleuse, se contentera de rappeler en quels termes Jean Dubuffet, dans ses Notes pour les fins lettrés, donnait en 1946 «congé aux fesses et aux seins» :

«L’homme appelle beau ce qui le ravit, ainsi l’érotomane l’objet de ses appétits : mais l’art n’a pas plus à faire avec les appels du sexe que ceux de l’estomac».

Et comment, dans une lettre du 16 octobre 1969 à un prof d’histoire de l’art de Montréal (François Gagnon), il mettait, en ce qui concerne la chose, des points sur les iiiiiiiiii

medium_Gala_nue_de_dos_1960.2.jpeg«C’est bien vrai que je n’aime pas l’érotisme dans l’art ; je suis très agacé par la collusion de l’érotisme avec la création d’art -chère aux surréalistes- mais qui d’ailleurs est le caractère capital de tout l’art classique d’Occident depuis les Grecs. Il n’y a rien de plus proprement culturel que la confusion de l’érotisme avec l’art».

Pour corser le tout, des fois qu’on s’avise de prendre ses propos pour paroles d’évangile, Dubuffet ajoutait en P.S. :

«Il ne vous échappe pas, certainement, que Labonfam abeber vise à être une incantation tout à fait dénuée d’aucun érotisme».

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 Labonfam abeber (1949) - Jeux I, planche V

20:10 Publié dans De vous zamoi | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Jean Dubuffet, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

10.10.2006

Tout le monde se lève pour l'art brut

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Avec l’expo Yves Klein qui commence, la marée bleue ne cesse de monter. Déjà, la Suisse est atteinte par le tsunami azuré et des milliers de bras, à Lausanne, brandissent le petit livre outremer qui va faire fureur cet automne en déclenchant une véritable révolution anticulturelle. Quand je dis «livre», j’exagère. Il s’agit plutôt d’un bulletin. Un bulletin d’adhésion dépliant au PARTI DE L’ART BRUT! Vous m’avez bien lue. Plutôt que d’appeler à un banal soutien de ses activités, l’équipe de campagne de la Collection de l’Art Brut (ou son conseil en communication) a choisi de nous exhorter à nous encarter.
Tout le monde se lève pour l’Art Brut et Dubuffet reconnaîtra les siens !
Cela réjouit mon daddy qui ne croit pas, comme Paul Valéry, que «seuls les huîtres et les imbéciles adhèrent». Lui qui a soutenu des tas de justes causes dans sa jeunesse contestataire, tout lui plaît dans le nouveau cheval de bataille du Château de Beaulieu : la couleur consensuelle, les points d’exclamation, le langage militant. Sans oublier la citation-slogan que tout le monde devrait répéter avant de s’endormir: «L’art ne vient pas coucher etc.». Mais ce qui le fait délirer surtout, mon partisan de daddy c’est que «on va enfin pouvoir se compter!». Il voit dans cet état de fait une source inépuisable de distractions à venir : «tu te rends pas compte, ma petite Ani, mais qui dit parti, dit tendances, qui dit adhésion, dit scissions, qui dit orthodoxie dit passionnantes chicanes».
J’avoue que ses arguments sont forts, même si je ne crois pas que l’art brut soit une avant-garde (ou une avant-hagarde), même si je doute que les créateurs qui le pratiquent soient des insurgés (ou des naufragés) volontaires. Le séduisant bonus que nous promet Lausanne pour mieux nous appâter : une visite commentée «suivie d’une agape» (rien à voir avec l’émission œcuménique d’Antenne 2 diffusée le jour du Seigneur) suffira-t-il à emporter notre adhésion  et à rejoindre les gardes bleus ?
Votre petite âme errante, pour sa part, serait tentée de répondre oui, si elle n’appartenait pas déjà au parti le plus exclusif qui soit : le parti d’en rire.

00:15 Publié dans De vous zamoi | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

30.09.2006

Vincent, François, moi et les autres

medium_portrait_F_Bertrand.2.jpgFrançois Bertrand, alias « le souriant psychologue à lunettes », fondateur et responsable du programme d’accompagnement artistique Vincent et moi m’écrit du Québec pour me dire qu’il deviendra «sûrement un habitué» de mon «site». C’est bien de l’honneur pour mon petit blogue mais je vois bien que ma désinvolte réflexion à propos d’art-thérapie dans ma note du 14 septembre 2006 le chiffonne un brin et qu’il souhaite donner à nos lecteurs un peu de bon grain à moudre sur animula vagula avant de correspondre directement avec eux si ceux-ci le souhaitent.  «La réflexion de Madame Béatrice Steiner s’approche davantage de notre réalité et en tout, montre une réserve et une ouverture qui me plaisent» précise d’abord François Bertrand, faisant allusion au commentaire d’une nos visiteuses. Et il ajoute : «On associe presque toujours le travail des personnes qui ont une maladie mentale à de l’art brut ou de l’art-thérapie, comme s’il n’y avait pas d’artiste qui ait une maladie mentale. Vincent et moi n’est et n’offre pas d’ateliers de création.» La suite ne manque ni de clarté ni d’intérêt mais déborderait un peu du cadre ordinaire d’une note typique de votre petite âme errante. Je vous invite donc à la découvrir ci-dessous. Elle en vaut la peine.

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16:25 Publié dans De vous zamoi | Lien permanent | Commentaires (3) | |  Imprimer | | Pin it! |

19.09.2006

No copyright/No copirate


medium_verre_2.2.jpgDeux mots à propos d’une tempête dans un verre d’eau. Une anodine remarque de ma part où j’exprimais le souhait (non l’exigence) que mon petit blogounet soit cité «brièvement» par un site ayant eu le bon goût de lui emprunter ses albums photo en raison d’un intérêt commun pour certains environnements d’art, suscite une avalanche de réactions disproportionnées. J’ai eu tort, j’en conviens. J’aurais dû me contenter de figurer dans les liens du dit site, d’autant que je n’avais pas sollicité cet avantage. Comme la ronchonnerie s’est propagée cependant sur des blogues amis, je me sens obligée de faire un petit point d’ordre malgré le ridicule de la chose.
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Mon avis sur cette question des images tient en deux postulats : No copyright/No copirate. Traduction : on peut m’emprunter mes images/n’encourageons pas  la piraterie. Si la contradiction saute aux yeux, c’est que tout ça est idéal. C’est la nature du support qui le veut. Nul blogue n’existe sans liens, sans emprunts. Leur audience, limitée en comparaison des grands médias, fait qu’une certaine tolérance règne. Ce n’est pas une raison pour en abuser. Tout est question de tact, de proportion, de courtoisie. Il y a déjà une tradition interactive en la matière. Signalons nos sources.
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Citons les photographes et les auteur(e)s quand c’est possible, ne faisons pas servir leurs clichés ou leurs pensées à de mauvaises causes. Défendre la propriété c’est bien beau mais défendre l’expression démocratique, c’est encore plusse beau (et tac !). Je comprends que la provoc soit un bon moyen de faire réagir les autres mais dans les limites du respect qu’on se doit les uns aux autres. Il est plus facile de supposer des vices «moraux» à un interlocuteur que de chercher à comprendre et à réfuter ses arguments.
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La tentation est grande de se comporter en justicier du village global. Elle s’observe déjà outre-atlantique. Balancer, harceler, se traiter, dispense de penser. Il y a moyen de faire mieux.
Encore un effort si vous voulez être animuliens.
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01:00 Publié dans De vous zamoi | Lien permanent | Commentaires (5) | |  Imprimer | | Pin it! |

30.08.2006

Fernand Chatelain. Avant. Après.

 

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Châteaux, châteaux, châteaux, c’est écœurant ce qu’il y a de châteaux. Tous ces châteaux indiqués sur les routes, moi forcément ça m’a fait penser à Chatelain, Fernand du prénom, et à son fameux jardin de sculptures toujours en proie à un relookage d’enfer.
medium_Chatelain_ane_2006.jpgVotre petite âme errante a donc pointé le museau de Bijou, sa Toyota éborgnée, en direction d’Alençon. A Fyé dans la Sarthe où je suis passée en coup de vent, je n’ai guère eu le loisir de m’extasier sur la restauration. Celle du bistrot Canebière, dont les sandwiches géants m’ont paru un brin trop «nourrissants», celle du site occupé par les créations de Chatelain qui m’est restée sur l’estomac.

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Disparu le lapin avec le petit baigneur sur le nez, l’Anglais avec le Times. Où sont passés le Concombre masqué, Nicolas et Pimprenelle ? On tremble pour eux. Vont-ils nous revenir et sous quel maquillage?
medium_Chatelain_chevre_2006.jpg Nulle pancarte pour indiquer aux «promeneurs» (que Chatelain aimait à voir s’arrêter devant chez lui) l’état et la nature des travaux. De ce qui reste, une partie non négligeable est passée déjà entre les mains laborieuses des acharnés réhabiliteurs. medium_DSC01975.2.JPGHeureusement, quelques œuvres de Chatelain demeurent encore dans leur état naturel et le moins que l’on puisse dire c’est que les rides leur vont bien. Ne craignez donc pas d’emprunter la Nationale 138, même si nos amis camionneurs l’affectionnent.
Si vous voulez savoir qui était Fernand Chatelain, avoir une idée de ce qu’était son incroyable univers créatif, précipitez vous à Fyé, sans tarder. Bientôt il sera trop tard.

medium_Chatelain_siamois_2006.2.jpgPour mieux vous permettre de vous faire une idée personnelle, j’ai obtenu du graphiste Jean-Charles Rousseau qu’il me confie, à fin de comparaisons utiles, certains de ses clichés (voir Album) qui ont été réalisés récemment ou en 1969.

Je dis bien

MILLE NEUF CENT SOIXANTE NEUF.

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18:40 Publié dans art brut, De vous zamoi, Jadis et naguère, Sites et jardins | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : fernand chatelain, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |

05.08.2006

Art brut en Bohême et en Moravie


medium_couv_umeni_v.jpgA tous les Leblanc qui sont dans le noir et à toutes fins utiles, voici en vrac, pour ceux que les palmarès font flipper, références et images du catalogue de la première expo d’art brut en République tchèque, organisée par Alena Nadvornikova en 1998 à la Galerie hlavniho mesta Prahy. L’Art brut, umeni v puvodnim (surovém) stavu : c’est le titre amputé de tous ses sacrés accents que je n’ai pas le clavier pour. Si vous voulez lire Madeleine Lommel, Joëlle Pijaudier-Cabot, Bruno Montpied en tchèque c’est idéal.

 
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 Jan Krisek (1958)
 
Il y a aussi des textes de 1948, de 1949 et 1975 par Jean Dubuffet, André Breton et Michel Thévoz, toujours en tchèco, c’est ça qu’est beau. Et des notices biographiques, dont une sur Jan Krizek (1909 Dobrichovice u Loun -1985 Corrèze, Francie) qui est une des vedettes des tous débuts de l’art brut. medium_eva_droppova.2.jpg
A la fin, 8 pages saumon avec un texte en anglais : Art brut in Bohemia and Moravia. Comme il est pas signé, j’ai du mal à me rendre compte si c’est la tradoche de la préface d’Alena Navordnikova mais je crois que voui.

01:35 Publié dans Ailleurs, De vous zamoi, Ecrits, Expos | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : jan krisek, art brut | |  Imprimer | | Pin it! |